FORIM

Le jeudi 26 septembre, le FORIM a co-animé un atelier lors de la Rencontre Annuelle du projet « Place aux Jeunes ! «  dont elle est membre du consortium. L’intergénérationnel étant la thématique du jour,  le FORIM a proposé un témoignage en regard croisés de l’ancien président de l’Union des Associations Burkinabés de France (UABF), Moussa Konaté et de l’actuel président de l’Union Rachid Congo. Tous deux ont pu témoigner de la passation de flambeau entre leurs générations.

On peut retenir de cet atelier que ce qui a facilité le renouvellement intergénérationnel à la tête de cette association a été l’accompagnement d’un ancien, via un rôle de mentor pour former et assoir la légitimité d’un jeune. Ce dernier, non pas identifié parce que jeune, mais de par ses qualités, son profil et son engagement.  La complémentarité entre un nouveau président, et un ancien gardant un rôle honorifique permet de continuer à s’appuyer sur l’expérience des anciens tout en valorisant une nouvelle dynamique associative. Bien que spécifique au contexte burkinabé, cette réussite peut inspirer d’autres associations et leurs leaders à préparer leur changement de gouvernance.

Ce dimanche, les Françaises et les Français ont fait entendre leur voix. Une forte mobilisation à travers toute la France a su se mettre en place pour faire barrage à l’extrême droite.  

L’annonce des résultats a sonné le glas d’un soulagement et presque d’une victoire. En effet, le RN et ses alliés n’ont pas obtenu la majorité absolue, synonyme de pouvoir mettre en place leur programme de division sans craindre une obstruction de la part des opposant.e.s, mais ont obtenu encore plus de sièges que lors des précédentes élections…  

Ce résultat n’aurait pas été possible sans la société civile qui dès le premier jour a alarmé de l’enjeu de ces élections et a incité les Français et les Françaises de se rendre aux urnes. Le FORIM a rejoint cet appel en signant la tribune de Coordination Sud, et corédigé avec ses membres une tribune appelant les diasporas au vote. Nous avons eu à cœur de donner la parole aux personnes qui composent notre réseau à travers des vidéos appelant ainsi les diasporas à exercer leur devoir de citoyen.  

En ces temps compliqués, nous tenions à remercier chaleureusement nos membres pour leurs mobilisations, leurs prises de parole et surtout leurs messages engagés.  

Les mobilisations du FORIM et des diasporas doit continuer. Nous devons rester solidaires et poursuivre l’interpellation des responsables politiques pour le bien vivre ensemble, de la justice sociale et pour garantir le respect des droits humains.  


Le FORIM mène une campagne sur les réseaux sociaux afin d’inciter les citoyens et citoyennes à se rendre aux urnes, à retrouver sur Instagram, LinkedIn ou Facebook.

De plus, le FORIM et ses membres se sont mobilisé.e.s pour écrire une tribune afin de faire barrage à l’extrême droite. Elle est à retrouver ici.

Le samedi 29 juin dernier, le FORIM organisait son Assemblée Générale au Foyer des Jeunes Travailleurs du 17ème arrondissement de Paris. L’occasion pour l’équipe du FORIM de présenter le rapport annuel d’activité 2023 et les perspectives 2024 aux membres présent.e.s.

Quelques chiffres clés :

A cette occasion, la commissaire au compte accompagnée du Responsable Administratif et Financier du FORIM ont pu présenter le bilan financier de l’exercice précédent et le prévisionnel aux membres du FORIM.

Une séquence découverte a aussi été organisée dans le but de mieux connaître les actions des structures en cours d’adhésion au FORIM, notamment l’UNACOF, le COSIM Grand Est ou le COSIM Loire Atlantique.

Des ateliers sur le « membership » (adhésion au FORIM) ont été organisés avec les membres, il est question de s’interroger et de s’accorder sur l’adhésion de potentiels nouvelles structures au FORIM.

Enfin la journée s’est clôturée sur un moment convivial où les différents membres ont pu se retrouver, échanger et célébrer cette réunion.

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Pour consulter le rapport annuel d’activité 2023 du FORIM

Après la dissolution récente de l’Assemblée nationale et à la suite des résultats des élections européennes, les français.e.s sont de nouveau appelé.e.s aux urnes les 30 juin et 7 juillet 2024 pour des législatives anticipées. Avec l’extrême droite aux portes du pouvoir, ces élections nous placent à un moment décisif de notre démocratie. Prenant en considération l’importance du thème de la migration dans les débats, le FORIM, réseau des diasporas solidaires, appelle ses membres, leurs adhérent.e.s et sympathisant.e.s ainsi que toute la communauté diasporique à aller voter. Ensemble, exerçons notre devoir citoyen pour revendiquer et construire une société en accord avec nos valeurs d’égalité, de justice et de solidarité.

Les migrations ont toujours été une source inestimable de richesse pour notre société. Elles enrichissent notre culture, stimulent notre économie et apportent une diversité essentielle à la vitalité de notre nation. Les personnes migrantes, par leur travail et leur créativité, contribuent de manière significative à notre société.

En 2022 déjà, lors des élections présidentielles, le FORIM avait fait le constat du besoin de reconnaitre l’apport essentiel et incontestable des diasporas et dénonçait les politiques discriminantes à l’encontre des migrant.e.s. Aujourd’hui encore, reconnaître et valoriser cette contribution est non seulement juste, mais aussi nécessaire pour l'avenir et la cohésion de notre pays.

Les discours xénophobes et les fausses informations sur les migrations perdurent, gangrènent nos valeurs du vivre ensemble et continuent inlassablement de semer la division, la méfiance et parfois la haine.

Dans le contexte politique actuel, il est crucial de rappeler que les droits des femmes et des minorités doivent être défendus sans relâche. Simone de Beauvoir nous avait prévenus : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis ». Ce constat résonne plus que jamais aujourd’hui quand certains acquis sociaux, arrachés après de longues luttes, sont menacés. Voter n’est plus seulement un droit mais également un devoir essentiel !

Ainsi, il est impératif que nous nous levions ensemble pour défendre nos valeurs communes. Nous devons exiger des politiques publiques qui respectent et promeuvent les droits fondamentaux de toutes et tous. Le FORIM, réseau des diasporas solidaires, appelle donc les décideurs et décideuses politiques à :

En cette période d’incertitude politique, notre voix est plus importante que jamais. Aller voter, c’est affirmer notre engagement pour une société juste et solidaire. Aller voter, c’est envoyer un message clair aux décideurs et décideuses politiques : nous voulons des politiques qui respectent et défendent les droits de chaque individu, quels que soient son origine, son genre ou sa religion. Aller voter, c’est refuser de céder à la peur et agir pour empêcher l’extrême droite et son projet xénophobe, raciste et sexiste, d’accéder au pouvoir.

Allons voter, pour nous, pour nos proches, pour toutes et tous.

Diasporas, les 30 juin et 7 juillet, faisons entendre notre voix !

Retrouvez le Policy brief du FORIM « les diasporas donnent de la voix », publié en 2022 pour les élections présidentielles, soulignant l’engagement continu du FORIM pour influencer les politiques publiques et valoriser l’apport des migrations ici et là-bas : Policy Brief 2022

France Volontaires et le FORIM partagent des espaces d’actions communs, notamment la promotion des échanges, et de la tolérance et d’ouverture sur le monde. Elles partagent également les valeurs d’engagement sur le double espace, de renforcement de la mobilité et de valorisation de l’expertise des diasporas. 

France Volontaire, qui propose des missions de volontariat en France et à l’Etranger, est dans une optique d’accroitre les mobilités croisées et de promouvoir la réciprocité dans les dispositifs d’engagement: « Dans un monde où le vivre ensemble est un défi pour toutes les sociétés, le développement des mobilités croisées et la réciprocité des engagements est une nécessité ».  

C’est dans ce cadre de souhait de diversification des publics engagés au sein des dispositifs de volontariat, que le FORIM et France Volontaire ont signé une convention de partenariat le 18 avril 2024. Ce partenariat vise à améliorer la connaissance réciproque des deux structures et à initier des premières actions de collaboration.  

Ainsi, il sera question de développer le soutien des espaces Volontariats des actions réalisées dans les pays d’origine, de renforcer la connaissance des équipes et des membres des dispositifs de volontariat, de participer à une étude concernant la place des diasporas et des enjeux liés aux migrations dans les dynamiques de volontariat et développer des actions de communication en commun.  

Une première action concrète a eu lieu par la participation de France Volontaires au séminaire interne durant l’atelier dédié à la mobilisation de la ressource humaine.  

Ce partenariat permettra aux membres du FORIM de mieux connaitre les dispositifs de volontariat, de les mobiliser dans leurs organisations, et ainsi pallier au manque de ressources humaines qui impacte la réalisation de leurs activités. Cela permettra au réseau FORIM d’avoir sa place dans le milieu du volontariat, de montrer la pertinence de mobiliser d’autres publics à l’engagement et le rôle que le réseau peut avoir pour les identifier. 

A l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits des femmes, le FORIM, réseau des diasporas solidaires, rappelle le rôle crucial qui est joué par les femmes migrantes et de la diaspora dans le co-développement et appelle les pouvoirs publics à des politiques publiques plus ambitieuses face aux défis qu’elles rencontrent.

Les femmes des diasporas :  des actrices majeures de la solidarité internationale et de la cohésion sociale

Dans l’imaginaire collectif, l’archétype du « migrant » est souvent attaché à la main d’œuvre de travail masculine ayant immigré pour subvenir aux besoins de sa famille restée au pays. Or, la réalité en est toute autre et la figure de la personne migrante a considérablement évolué depuis ces profils observés dans le contexte des années 1970 en France.

Selon les chiffres de l’Organisation Internationale pour les Migrations en 2020, les femmes représentent plus de la moitié des personnes migrantes dans le monde (51,9 %)[1] – une tendance également observée en France[2]. Ces chiffres témoignent du rôle précurseur joué par les femmes qui décident, pour un ensemble de raisons relevant de la liberté individuelle, d’entreprendre un nouveau projet de vie dans un autre pays.

Or, les femmes des diasporas contribuent directement au co-développement dans le double espace, via des projets mis en œuvre dans leur pays d’origine et leur pays d’accueil. Vectrices d’échanges interculturels transfrontaliers, elles font souvent le lien entre les sociétés d’ici et de là-bas et jouent à ce titre le rôle d’ambassadrices de dialogue et de paix. Leurs contributions sont multiples : elles stimulent l’économie des pays d’origine en portant des projets d’entreprenariat et contribuent à l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) en menant des initiatives qui bénéficient aux femmes et aux jeunes filles. En France, leur rôle a été souligné notamment durant la pandémie de Covid-19, lors de laquelle elles se sont illustrées comme des chainons indispensables du maillage social et économique du pays.

Des femmes des diasporas toujours confrontées à une série d’obstacles contraignant leurs actions et limitant leurs droits fondamentaux

Par leur double appartenance à des catégories minoritaires liées à leur origine étrangère et leur genre, les femmes des diasporas se situent à l’intersectionnalité d’une série de discriminations.

Pendant leur parcours migratoire, les femmes et les filles sont surexposées à de multiples violences (physiques, psychologiques, administratives, économiques et sexuelles) qui peuvent perdurer une fois arrivées dans le pays d’accueil. De ce fait, elles n’ont pas un accès équitable aux droits fondamentaux indispensables à leur épanouissement personnel (éducation & formation, logement, santé sexuelle et reproductive, emploi, etc.). En tant que personnes étrangères, les femmes des diasporas sont également exclues de certains droits fondamentaux dont ceux liés à la participation politique et au droit de vote. Elles sont ainsi reléguées à un statut de « citoyennes de seconde de zone », ne pouvant pas exprimer leur opinion politique et leurs choix d’orientations collectives au sein de la société.

Du fait de l’ensemble des violences symboliques qu’elles subissent en raison de leur identité de genre et leur origine étrangère cumulées aux inégalités structurelles qu’elles subissent dans l’accès aux droits et services de bases, on observe chez les femmes des diasporas un taux de chômage deux fois plus élevé que celui des femmes sans ascendance migratoire[3].

Le FORIM appelle les pouvoirs publics à adopter des politiques publiques plus ambitieuses en faveur des femmes des diasporas

Alors que le gouvernement a renouvelé son engagement d’inscrire l’égalité femmes/hommes comme grande cause du quinquennat[4] et affiche régulièrement sa volonté de défendre une diplomatie féministe[5], le FORIM appelle les pouvoirs publics à plus de cohérence et à transformer ces ambitions en actions concrètes, pour enfin changer le quotidien des femmes desdiasporas :

Participation politique et citoyenneté

Le FORIM encourage l’adoption de la proposition de loi constitutionnelle n°1982 déposée à l’Assemblée nationale le 8 décembre 2023 pour « accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers et étrangères non ressortissantes de l’Union européenne résidant en France ». Cette proposition de loi constitue un progrès attendu depuis de longues années par les personnes migrantes en France désirant être reconnues comme des citoyen.ne.s à part entière[6]. Nous appelons également les pouvoirs publics à renforcer la place des femmes des diasporas dans les espaces de consultation et de codécision des politiques dans une logique de démocratie participative effective. Cette participation est d’autant plus décisive dans les processus d’élaboration des politiques publiques visant l’égalité femmes/hommes et les politiques migratoires. Nous regrettons à cet égard l’absence des femmes migrantes dans les débats accompagnant l’adoption de la loi du 26 janvier 2024 pour « contrôler l'immigration, améliorer l'intégration » à laquelle nous nous sommes fermement opposés. 

Formation et insertion professionnelle

Les perspectives d’intégration socio-économique des femmes des diasporas dépendent intrinsèquement de la reconnaissance de leurs diplômes et expériences professionnelles en France. Or, beaucoup de personnes étrangères en France font l’objet d’un processus de déclassement professionnel du fait de l’absence d’équivalence officielle de leurs parcours et savoir-faire acquis à l’étranger. C’est pourquoi le FORIM milite pour la reconnaissance des compétences des femmes migrantes afin qu’elles puissent révéler leur plein potentiel et atteindre des objectifs professionnels à la hauteur de leurs attentes et capacités. Nous invitons aussi à soutenir les initiatives entrepreneuriales des femmes des diasporas en facilitant leur accès à des mécanismes de financement inclusifs, tels que les prêts à faible coût et les subventions. Encourager l’accès à de tels mécanismes financiers contribuera à briser les barrières économiques, stimuler l’entrepreneuriat féminin mais aussi autonomiser de manière significative les femmes.

Appui aux initiatives de la société civile agissant pour le genre 

Pour que les organisations de la société civile puissent continuer à mettre en œuvre leurs actions en faveur des ODD (notamment l’ODD n°5 visant l’égalité de genre[7]), nous appelons les pouvoirs publics à maintenir leur financement inconditionnel. Cela nécessite de pérenniser et élargir les fonds de soutien tels que le Fonds de soutien aux organisations féministes[8], et de renforcer l’accessibilité de tels fonds aux petites organisations. A ce titre, nous dénonçons la tendance actuelle visant à incorporer progressivement de la conditionnalité dans l’accès à ces financements sur des critères externes aux règles et aux procédures de candidature formelles (injonction au positionnement politique, à l’adhésion à certaines valeurs, etc.). Tout comme pour l’aide publique au développement, nous militons pour que les politiques publiques de solidarité internationale ne soient pas détournées de leurs objectifs initiaux de réduire les inégalités et d’atteindre les ODD.

Sensibilisation et changement des représentations

Pour que l’égalité femmes/hommes soit réellement atteinte, il est indispensable de mener un travail sur les mentalités et les représentations collectives autour du genre et de la migration. Nous encourageons donc les pouvoirs publics à impulser des campagnes de sensibilisation visant à lutter contre les stéréotypes de genre et les préjugés associés aux femmes des diasporas. Via des partenariats avec des acteur.trice.s issu.e.s de la société civile, du monde de la recherche et des médias, il nous semble crucial aujourd’hui d’apporter un éclairage multi-dimensionnel sur les contributions positives des personnes migrantes. Ce travail de sensibilisation semble d’autant plus important aujourd’hui pour faire face à la propagation des idées d’extrême droite toujours plus hostiles aux principes d’égalité et mettant en péril les fondamentaux de notre démocratie.


[1] https://www.migrationdataportal.org/fr/themes/sexospecificites-et-migration

[2] https://www.histoire-immigration.fr/societe-et-immigration/quelle-est-la-part-des-femmes-dans-l-immigration-en-france

[3] https://www.insee.fr/fr/statistiques/6793274?sommaire=6793391

[4] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/toutes-et-tous-egaux-plan-interministeriel-pour-legalite-entre-les-femmes-et-les-hommes-2023-2027

[5] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/diplomatie-feministe

[6] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b1982_proposition-loi#

[7] https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/gender-equality/

[8] https://www.afd.fr/fr/fonds-de-soutien-aux-organisations-feministes-fsof

Dans le cadre de l'appel à projets du dispositif PRAO/SIM, 20 associations membres du FORIM ont été sélectionnées et labellisées en tant qu'opérateurs d'appui (OPAP). Être accompagné par un OPAP est une étape obligatoire pour toutes les associations souhaitant soumettre une demande de cofinancement. Leur rôle principal est d'accompagner les associations dans la conception et la réalisation de leurs projets.

Retrouvez ci-dessous la liste des activités organisées par nos opérateurs d'appui dans le cadre de cet appel à projet.

MARS 2024

Vendredi 08 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par la Plateforme des Associations congolaises de France

Informations pratiques : 17h-21h, 19 rue de la Fraternité 93170 Bagnolet

Contact : kilemak@gmail.com

Samedi 09 mars

Journée d'écriture - organisée par la Plateforme des Associations congolaises de France

Informations pratiques : 10h-17h, 19 rue de la Fraternité 93170 Bagnolet

Contact : kilemak@gmail.com

Samedi 09 mars

Réunion d'informations sur le PRA/OSIM organisée par le Collectif des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations de la région Nouvelle Aquitaine

Informations pratiques : 10-13h, visioconférence

Contact : cosim.aquitaine@gmail.com

Lundi 11 mars -vendredi 22 mars

Séances d'accompagnement individuel d'un projet de développement local, organisées par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo

Informations pratiques : 20h30-22h30, visioconférence

Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01

Samedi 16 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par la Plateforme d'Associations Franco-Haïtiennes

Informations pratiques : 10h-17h, 14 rue Victor Hugo - 93500 PANTIN

Contact : contactpafha@gmail.com

Samedi 16 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe

Informations pratiques : 10h-15h, visioconférence

Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org

Dimanche 17 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par la Fédération des Associations Capverdiennes de France (FACF)

Information pratiques : 19h, visioconférence

Contact: contact.fac2016@gmail.com

Dimanche 17 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Conseil des Béninois de France (CBF)

Informations pratiques : 10h-13h, visioconférence

Contact : martialmehouloko@gmail.com; Jean_charles.ahomadegbe@yahoo.fr

ID de réunion: 827 7449 1956
Code secret: 01081960

Samedi 23 mars

Séance d'information en ligne organisée par le Comité de suivi du symposium sur les Sénégalais de l'extérieur (CSSSE)

Informations pratiques : 14h-17h, visioconférence

ID de réunion: 763 5886 6640
Code secret: FYPS5g

Contact : Moulaye Aidara, 06 03 37 77 52

Samedi 23 mars

Atelier collectif d'écriture d'un projet de développement local organisé par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo

Informations pratiques : 18h30-21h00, visioconférence

Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01

Samedi 23 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Haut Conseils des Maliens de France

Informations pratiques : 10h-17h, Bourse de Travail de Paris 3 rue de Château d’eau, Métro République
Salle Louise Michel

Dimanche 24 mars

Réunion d'information sur les dispositifs de co-financement, organisée par la Coordination des associations guinéennes de France

Informations pratiques : 14-17h, visioconférence

Contact : Tahirou BAH, 06 60 50 62 83

Dimanche 24 mars

Atelier d'écriture organisé par le Conseil des Béninois de France (CBF)

Informations pratiques : 10h-18h, visioconférence

Contact : martialmehouloko@gmail.com; Jean_charles.ahomadegbe@yahoo.fr

ID de réunion: 827 7449 1956
Code secret: 01081960

Dimanche 24 mars

Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe

Informations pratiques : 10h-15h, visioconférence

Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org

Lundi 25 mars au 05 avril

Séances d'accompagnement individuel d'un projet de développement local organisées par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo

Informations pratiques : 20h30-22h30, visioconférence

Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01

Lundi 25 mars

Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par le Collectif des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations de Rhône-Alpes (COSIM Rhône-Alpes)

Informations pratiques : 19h00-19h45, visioconférence

Contact : contact@cosim-ara.fr

Mercredi 27 mars

Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par la Plateforme d'Associations Franco-Haïtiennes

Informations pratiques : de 18h30- 20h30, visioconférence ZOOM

ID de réunion: 827 23746932
Code secret: 834798

Vendredi 29 mars

Séances d'accompagnement individualisées pour les porteurs de projets - organisées par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe

Informations pratiques : 14h, visioconférence

Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org

Samedi 30 mars

Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par le Réseau des associations pour le développement du bassin du fleuve Sénégal (RADBFS)

Informations pratiques : de 09h00-16h00, Bourse de Travail de Saint Denis, 9-11 rue Génin 93200

Contact : radbfs@gmail.com

Samedi 30 mars

Atelier d'écriture de projet -partie 1, organisé par le Femmes et contributions au développement (FECODEV)

Informations pratiques : de 14h00-16h00, visioconférence

Contact : fecodev@gmail.com

A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le FORIM organise un événement le samedi 9 mars 2024 mettant à l’honneur les femmes des diasporas, leurs pluralités, leurs combats et leurs contributions exceptionnelles à tous les aspects de la société en France et dans leurs pays d’origine.  

Une après-midi ouverte à toutes et tous autour de stands d’exposition et d’une rencontre-débat pour sensibiliser à la cause des femmes migrantes et issues des migrations tout en mettant en avant leur travail, leurs arts et cultures. 

Accès libre et gratuit. L'inscription à la table-ronde est recommandée.

Rendez-vous le 9 mars !

Solidairement,

le FORIM, réseau des diasporas solidaires

Avec le soutien principal de l'Agence française de Développement

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