FORIM

En lien avec les orientations de son nouveau projet associatif à l’horizon 2030, le FORIM envisage d’animer un portefeuille de programmes d’actions équilibré entre ici et là-bas permettant de soutenir toutes les formes d’initiative concourant à sa mission, dans les domaines du développement local, de l’entrepreneuriat solidaire, de lutte contre les discriminations et les inégalités. 

Dans ce sens, avec l’objectif stratégique d’assurer la bonne articulation des actions du FORIM et des actions de ses membres, une étude portant sur la Connaissance des actions des membres et des OSIM dans le domaine de l’appui à l’intégration et au bien-vivre ensemble sera lancée pendant le mois de mai. 

Avec cette étude, le FORIM souhaite mieux connaître les engagements et les actions que ses membres portent notamment dans le territoire français dans différents domaines d’action sociale tels que la lutte contre les discriminations et violences faites aux femmes, l’intégration des populations vulnérables et primo-arrivants ou encore la promotion culturelle, entre autres. Le FORIM souhaite également identifier et comprendre les éventuels besoins d’accompagnement et de renforcement des capacités des membres mais aussi identifier les acteurs et dispositifs de ces secteurs. 

L’ambition finale de l’étude serait qu’elle soit la base d’un travail de création d’un fonds de soutien des actions réalisées en France par les membres coconstruit avec le réseau de partenaires identifié.  

Le FORIM invite ses membres et leurs OSIM à partager leurs expériences sur ces activités.

Pour plus d'informations et partager vos contributions : forim@forim.net

Le FORIM a été invité le mercredi 26 avril à la rencontre multi-acteurs avec une délégation de representant.es d’institutions comoriennes. En effet, dans le cadre du plan de développement France - Comores, Expertise France, via un appui de l’Agence Française de Développement (AFD), accompagne les autorités comoriennes dans l’élaboration de la stratégie nationale de mobilisation de la diaspora. L'ambition de la mission de la délégation comorienne était de se focaliser sur deux thématiques structurantes de l’engagement de la diaspora, à savoir : l’investissement social au travers le développement local ainsi que l’investissement productif aux Comores et notamment l’entreprenariat.

Cet espace d'échange a permis dans un premier temps de présenter les organisations participant à la réunion, l'opportunité pour le FORIM de mettre en valeur le travail de structuration de la diaspora en France, ainsi que le travail des collectifs et fédérations des diasporas membres du réseau. Puis, le FORIM a saisi l'occasion pour présenter le dispositif PRA/OSIM et sa contribution dans les projets de solidarité internationale d'ici et là-bas et notamment aux comores.

La réunion a également été l'occasion de présenter l'ébauche d'une stratégie pour la diaspora, et ensuite d’échanger autour de l’évolution des pratiques de la diaspora comorienne et des outils que développent les acteurs pour appuyer la démarche de la diaspora, notamment au sujet de :

A l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le paludisme, le FORIM et son représentant Rachid CONGO, administrateur et référent de la commission jeunesse a fait une intervention le mardi 25 avril à la Mairie de Paris centre, dans le cadre de l'événement "Il est temps d’atteindre Zéro Palu : les élus s’engagent". Cet événement organisé par l’association des Élus Locaux Contre le Paludisme (ELCP) et soutenu par le Fonds Mondial et Speak Up Africa, a permis de mettre en lumière l'engagement des diasporas membres du FORIM et de leurs actions liés à la lutte contre le paludisme.

Les diasporas mobilisés autour de la question du paludisme

Pendant l'intervention le représentant du FORIM a souligné que la dette morale des diasporas figure parmi les principaux facteurs de cette mobilisation. En effet, dans certains pays d'Afrique, le paludisme est toujours très répandu. Ce sentiment de redevabilité fait que les diasporas, et en particulier les diasporas en France, sont particulièrement active et ont ce désir d’être utile à leur patrie d’origine qui rencontre encore des difficultés pour lutter contre cette maladie.

Les actions du FORIM

Le FORIM avec l'appui de son dispositif de cofinancement PRA/OSIM accompagne ses membres dans la création et la mise en œuvre de projets de développement dont certains visent directement ou indirectement la lutte contre le paludisme. Concrètement, deux domaines d’intervention du PRAOSIM sont liés à cette lutte. Tout d'abord, les projets de développement local dans le secteur de l’eau et de l’assainissement participent à la prévention de cette maladie. D’autre part, les projets du secteur de la santé (par exemple projet de construction de centre de santé, d’achat de matériels sanitaires et produits pharmaceutiques) contribuent à ce que les populations puissent recevoir des traitements contre le paludisme. A ce jour, le FORIM a cofinancé avec des subventions de maximum 15 000 euros, environ 199 projets dans ces deux domaines. Sur l'ensemble des projets accompagnés par le FORIM, 1 projet sur 4 est consacré à la lutte contre le paludisme.

Ces actions du FORIM et de l'ensemble des partenaires engagés dans ce domaine restent cependant encore très insuffisantes pour atteindre le niveau du zéro Palu. Le lancement de cette nouvelle organisation des élus locaux contre le paludisme arrive à point nommé pour compléter et renforcer les engagements des dernières années. Ce portage politique, absent depuis longtemps sur le sujet en France, permettra de mettre en lumière cette problématique de santé publique, et viendra appuyer les actions des diasporas pour changer la situation.

Latroisième édition des concertations régionales organisées dans le cadre du programme « Coopération Régionale des Politiques Migratoires » (CRPM) s’est déroulée à Conakry (Guinée) les 15 et 16 mars 2023.

En tant que membre du comité de pilotage de la composante société civile du programme, le FORIM a pris part à la rencontre aux côtés de ses partenaires de la société civile européenne et africaine. Les échanges avec les interlocuteur.trice.s institutionnel.le.s des pays d’intervention du programme portaient principalement sur les chaines de solidarité nécessaires à la réponse collective en cas de crise.

Monsieur Morissanda Kouyaté, le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Guinéens de l’étranger du pays hôte de l’évènement, a ouvert la session en rappelant l’importance de maintenir un dialogue Nord-Sud en termes de suivi des politiques migratoires et en soulignant le rôle primordial des diasporas dans le co-développement du pays.

Durant ces deux journées d’échanges, le FORIM a mis en avant des initiatives de la société civile tunisienne, ivoirienne et camerounaise en temps de crise afin d’illustrer la résilience et la combativité des acteur.trice.s associatif.tive.s militant dans des contextes d’intervention difficiles.

L’actualité internationale étant marquée notamment par la montée des réflexes xénophobes anti-migrants dans la région, ce fût l’occasion pour les représentants de la société civile tunisienne et ivoirienne de mettre en lumière leur engagement en faveur de la solidarité et la promotion d’une conception inclusive et égalitaire des sociétés africaines. La Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives et la Convention de la société civile ivoirienne ont ainsi témoigné de la ferme volonté des acteur.trice.s de la société civile africaine et diasporiques de continuer à se mobiliser ensemble pour la protection des personnes migrantes dans les politiques migratoires de la région.

Le 28 février et le 1er mars 2023, le FORIM a pris part à la rencontre « Unir les forces pour un engagement de la société civile africaine et européenne sur la migration » organisée par son partenaire VENRO à Dakar (Sénégal), qui a réuni une trentaine d’expert.e.s en migration et représentant.e.s de la société civile africaine et européenne.

L’initiative s’inscrivait dans le contexte d’organisations de réunions préparatoires au prochain Forum mondial sur la Migration et le Développement (FMMD – prévu pour février 2024). Le FMMD constitue un moment clé de l’agenda international qui résulte du premier Dialogue de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations unies sur la migration internationale et le développement en 2006. Il est le seul mécanisme mondial en place à ce jour pour discuter de la migration et du développement avec l'ensemble des acteurs impliqués dans la migration – des organisations de base jusqu'aux gouvernements nationaux et autres organisations internationales. 

Cette rencontre a permis de revenir sur la déclaration d’Abuja, promulguée en février par les organisations de la société civile africaine, afin de préciser les contours de certaines recommandations notamment liées à deux thématiques centrales : l’immigration de travail et le renforcement du rôle des diasporas dans le co-développement.

Parmi les principales perspectives qui ont émergé durant les échanges, on peut citer la volonté des acteur.trice.s de la société civile et des universitaires d'Afrique et de la diaspora de travailler ensemble à l'élaboration de politiques migratoires qui répondent aux besoins des personnes migrantes. Un document de recommandations est en cours de finalisation et servira de feuille de route à la société civile impliquée dans le cadre du FMMD.

En partenariat avec EUDiF (European Union Global Diaspora Facility), le FORIM propose un parcours de formation dédié au renforcement des capacités d’intervention des Opérateurs d’Appui (OPAP) et des membres de son l’équipe technique.

Le renforcement des compétences au cœur du partenariat FORIM-EUDiF

Depuis novembre 2021, le FORIM travaille en étroite collaboration avec le Laboratoire de développement des capacités d'EUDiF, développé par le Centre international pour le développement des politiques migratoires (ICMPD – International Centre for Migration Policy Development) et financé par l’Union européenne.

Ce partenariat vise à développer les compétences des chargé.e.s d'appui au sein des OPAP et des membres de l’équipe technique du FORIM, de façon à ce qu’ils et elles puissent soutenir, par des formations en cascade, les OSIM dans le montage et la mise en œuvre de projets de développement dans leur pays d’origine.

Dans le cadre de cette action, le FORIM et EUDiF développent des outils et organisent des sessions de formation dispensées par des expert.e.s choisi.e.s ensemble, puis recruté.e.s par EUDiF.

Le parcours de formation

Ce parcours de formation contient sept formations pédagogiques, sectorielles et transversales. Pour chaque formation, trois modules sont réalisés en ligne ou en présentiel.

En 2022, nous avons eu le plaisir d’organiser trois formations en parallèle de l’appel à projets du dispositif PRA/OSIM, et ce afin d’inscrire ces formations dans le cycle d’accompagnement des OPAP. Ces formations portaient sur la gestion et l’accompagnement de projets, la maitrise de la gestion des fonds publics, et la communication et la valorisation du réseau associatif.

À l’issue de ces formations, des supports et outils ont été fournis aux chargé.e.s d’appui ainsi qu’une attestation de présence pour la participation à tous les modules.

Remise des attestations de présence à l'occasion de la dernière session de la formation « Mieux maitriser la gestion des fonds publics » à Paris, le 29 novembre 2022.

Paroles de chargé.e.s d’appui

Les chargé.e.s d’appui des OPAP ont témoigné de l’importance des formations pour les accompagner dans leurs pratiques. « Ces activités m'ont permis de mieux comprendre comment gérer la relation OPAP-OSIM, mais aussi comment accompagner une structure dans le cadre d'un projet », explique l’un d’eux. Un autre renchérit : « [Cela nous a aidé] à mieux préparer nos OSIM pour faire face aux nouveaux enjeux des réalités des appels à projets. [Mais aussi] à nous préparer nous-mêmes en tant que OPAP et fédération de diaspora avec les meilleurs outils d’accompagnement sur les sujets de gestion de projets ».

Les informations reçus en formation sont concrètes et favorise l’échange et le partage de connaissance. « [Je suis] mieux conscient des critères à prendre en considération dans la construction d'un budget, [et peux] partager les informations et conseils reçus avec mes collègues », évoque un.e chargé.e d’appui.

Et la suite ?

Forts de ce succès, en 2023, le FORIM et EUDiF comptent réaliser quatre nouvelles formations. Celles-ci porteront sur l’intégration du genre dans les projets pour assurer un développement durable, l'énergie solaire, la transition écologique et la capitalisation d’expériences.

Retrouvez plus d'informations sur le partenariat sur le site d'EUDiF.

Le FORIM s’est associé à La Guilde, Yvelines Coopération internationale et Développement (YCID) et la Fondation Coallia pour lancer une étude collective visant à développer un référentiel d’indicateurs de microprojets de développement.

Une démarche collective

Chacune des structures participantes gère des dispositifs d’accompagnement et de financement de microprojets portés par de petites organisations de solidarité internationale installées en France : le PRA/OSIM du FORIM, la Plateforme territorialisée pour les micro-projets de La Guilde, l’appel à projets de solidarité internationale de Coallia et le Fonds de soutien aux initiatives yvelinoises d’YCID. Ensemble, ils ont voulu se pencher sur les possibilités de définition d’un référentiel harmonisé d’indicateurs qui soit adaptés aux enjeux de valorisation et de mesure des effets des projets de développement local financés dans le cadre de leurs dispositifs.

Ce projet d’étude répond en partie à une volonté de valoriser la pertinence des microprojets et ses résultats dans le développement des territoires d’intervention. Elle fait également constat du fort intérêt porté aux dynamiques contributives aux objectifs de développement durable.

Une initiative mise en œuvre avec F3E

Cette initiative a été présentée par le FORIM au comité des études du réseau F3E dans le cadre de son programme d’accompagnement d’études. La proposition validée, les structures ont travaillé à la définition de termes de référence pour la démarche. Un appel d’offres a ensuite été lancé afin de sélectionner l’équipe de consultance qui accompagnera le collectif dans la mise en œuvre. La très haute qualité des candidatures reçues témoigne de l’intérêt et de la pertinence de cette initiative dans le secteur de la solidarité internationale en France et à l’international. La mise en œuvre a pu démarrer le 28 mars et est prévue pour durer 18 mois avec une phase de diagnostic, de co-construction du référentiel, et d’une expérimentation sur le terrain.

Rencontre des parties prenantes de l'étude. De gauche à droite : Nicolas Laurent et Elizabeth Flores (FORIM), Noa Lehingue et Virginie Escudié (La Guilde), Rodrigue Olavarrie Tapia (F3E). Etaient également présents en distanciel Marion Perrin et Bérénice Guerin (YCID) et Fatimata Sall (Coallia).

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le FORIM, les collectifs et fédérations de son réseau et leurs associations de femmes migrantes et issues des migrations se mobilisent et appellent à des actions fortes en faveur de l'égalité des genres – et plus spécifiquement de l'inclusion numérique, le thème mis en valeur par les Nations unies cette année. Découvrez leur message commun ci-dessous.

Nous, femmes des diasporas, migrantes et issues des migrations, contribuons au développement durable, aux échanges entre les peuples, à la cohésion sociale et à la réduction des inégalités ici et là-bas, en France et dans nos pays d'origine.

En 2023, les droits des femmes sont encore bafoués partout dans le monde et de nombreux retours en arrière sont observés : restrictions grandissantes contre les droits des femmes en Afghanistan depuis le retour des Talibans au pouvoir en 2021, recul du droit à l’avortement aux États-Unis et en Pologne mais aussi toute crise politique, sociale et/ou environnementale, qui à chaque fois impacte disproportionnellement les femmes et menace leurs droits – comme actuellement en Éthiopie, en Argentine et en Chine.

En parallèle, les discriminations envers les personnes migrantes se multiplient. Le climat de méfiance à leur encontre grandit chaque jour un peu plus et fragilise nos organisations.

En tant que femmes migrantes, à l’intersection de ces discriminations, nos droits et libertés sont sans cesse menacés et nous faisons l’objet de représentations stéréotypées. Pourtant, nous sommes le nouveau visage des migrations et portons au quotidien des projets de co-développement ici et là-bas qui font de nous des actrices transfrontalières de coopération internationale à part entière.

Notre mobilisation et celle de la société dans son ensemble sont essentielles pour prévenir ces retours en arrière et poursuivre les avancées encourageantes observées récemment (inscription dans la Constitution française du droit à l’avortement, mesures prises pour améliorer les droits des femmes au Maroc, au Cambodge, en Côte d’Ivoire, etc.). Nous continuons donc à agir ici et là-bas pour défendre l’application universelle des droits humains et mettre en avant les besoins et combats des femmes – et en particulier ceux des femmes migrantes – trop souvent invisibilisées, et affirmer l’apport sociétal positif de chaque personne quel que soit son genre, son origine, sa couleur de peau, son orientation sexuelle et chaque parcelle de son identité.

Dans ce contexte, la fracture numérique agit comme un catalyseur d’inégalités. Amplifiée par la crise du Covid-19, elle impacte particulièrement les femmes. Elle cause des difficultés d'accès aux services fondamentaux tels que les soins et constitue un frein à l'insertion dans le monde du travail et à la participation à la vie sociale et politique.

Face à ce constat, nous ne restons pas inactives. Chaque jour, nous mobilisons nos ressources, nos forces et notre capacité à innover à travers des actions de sensibilisation, d'éducation et de renforcement de capacités, et ce afin de permettre aux femmes et aux filles de lever ce frein à leur pouvoir d'action. Ces actions étant essentielles pour lutter contre les inégalités de genre et agir pour atteindre les objectifs du développement durable, il est aussi indispensable de renforcer leur visibilité.

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes :

  1. Nous appelons à accélérer la mise en œuvre des conventions et dispositifs visant à réduire les inégalités entre les hommes et les femmes. Nous ciblons, en particulier, la Déclaration et le plan d'action de Beijing, ainsi que le Plan d’accélération global pour l’égalité des sexes lancé par le Forum Génération Egalité.
  2. Nous soulignons le caractère essentiel et irremplaçable des organisations de femmes, qui doivent pouvoir continuer à exister et renforcer leurs actions. Nous appelons à pérenniser et élargir les fonds de soutien comme le Fond de soutien aux organisations féministes, et à renforcer l’accessibilité de ces derniers aux petites organisations afin de tenir compte de la pluralité des actrices et des structures.
  3. Nous appelons les États ici et là-bas à adopter une approche multipartite, qui implique la société civile dans la réflexion et la conception des orientations stratégiques et des politiques publiques, et ce afin de garantir des prises de décisions pertinentes et efficaces en lien avec le vécu des personnes concernées. Nous insistons sur l’importance d’une telle approche en ce qui concerne les politiques visant à réduire les inégalités de genre, trop souvent déconnectées de la réalité, ainsi que les politiques migratoires, dont les acteurs et actrices concerné.e.s sont complètement exclu.e.s.
  4. Nous demandons aux pouvoirs publics français de reconnaitre la citoyenneté de résidence des personnes migrantes en France, dont les femmes migrantes qui jouent un rôle essentiel dans nos sociétés. Les personnes migrantes vivant en France ont le droit de choisir leurs représentant.e.s politiques dans la mesure où iels contribuent à l’essor économique et culturel du pays et à maintenir un dialogue social, notamment dans les quartiers les plus précarisés.
  5. Nous militons pour la reconnaissance des compétences et savoir-faire des personnes migrantes dont les femmes, trop souvent exclues du marché de l’emploi faute d’équivalence officielle de leurs parcours et expertise acquise à l’étranger.
  6. Nous appelons la France à ratifier la Convention internationale des droits des travailleur.se.s migrant.e.s et de leurs familles et à faire preuve d’exemplarité en adhérant aux standards internationaux de protection des droits des travailleurs et travailleuses migrant.e.s.
  7. Nous interpellons sur la nécessité de mettre en œuvre aux niveaux nationaux des mesures visant à combler la fracture numérique et à mener ces travaux en incluant les femmes, et en particulier les femmes migrantes, pour penser les mesures en lien avec les idées et les besoins de toutes et tous.

Seule la mise en œuvre de ces revendications permettra à la France et à chaque pays de véritablement lutter contre les inégalités de genre et œuvrer au développement durable ici et là-bas.

Avec le soutien principal de l'Agence française de Développement

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