Suite au lancement de l’appel à projet 2021 via son portail d'appui en ligne pour la 1ère fois, le Comité d’Examen Paritaire (CEP) s’est réuni Mardi 7 Décembre 2021 pour finaliser le travail d’instruction des projets admissibles aux financements du programme PRA/OSIM.
Pour l’appel à projet 2021, 177 projets ont été présentés par des OSIM souhaitant un soutien pour réaliser un projet de développement local dans les secteurs suivants : Santé / Education / Eau / Développement Economique / Développement Rural et Agricole / Développement Social.
Après instruction, 76 projets ont été retenus par le jury et recevront un co-financement jusqu’à 15 000 euros, une enveloppe pas supérieure à 70% du montant total du projet.
Comme établi par le programme, les OSIM ont pu bénéficier du soutien des Opérateurs d’Appui labellisés [OPAP] du PRA/OSIM pour pouvoir déposer un projet. Cet accompagnement des OSIM par les OPAP est obligatoire et totalement gratuit dans le cadre du PRA/OSIM.
Encore toutes nos félicitations aux OSIM, les Opérateurs d'Appui et les membres du CEP pour leur engagement envers l'enrichissement du co-développement ici & là-bas.
LISTE DES PROJETS LAUREATS DU PRAOSIM 2021 B
Le vendredi 23 octobre, le FORIM a signé la convention de partenariat avec Expertise France pour le lancement du programme « Améliorer le dialogue entre OSC et pouvoirs publics pour des politiques migratoires justes et pertinentes en Afrique » dans le cadre de l’initiative Coopération Régionale des Politiques Migratoires, mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Agence Française de Développement (AFD).
Ce Programme vise à renforcer les organisations de la société civile, locales et issues de la diaspora, dans le suivi des politiques migratoires de 7 pays d’Afrique (Tunisie, Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire, Mali, Guinée, Cameroun) et à créer des espaces de dialogues avec les autorités sur ces questions. Dans chaque pays, des cartographies, programmes de renforcements, ateliers, ainsi que le soutien à des initiatives pilotes offriront des opportunités aux associations de construire leurs priorités d’action et de plaidoyer.
Le FORIM met en œuvre ce programme en consortium avec le GRDR – Migration, Citoyenneté Développement et le Collectif Loujna Tounkaranké, un réseau d’associations d’Afrique du Nord et de l’Ouest. Ensemble, ces trois organisations défendent l’accès aux droits pour toutes les personnes migrantes, et la contribution des diasporas au développement des pays d’origine et d’accueil.
Contact et infos : Benoit Mayaux, chargé de plaidoyer, bmayaux@forim.net
visualisez le document de synthèse
Pour la 1ère fois depuis sa création, le PRA/OSIM - dispositif du FORIM - a lancé son tout premier appel à mésoprojets en s’appuyant sur plus de 18 ans d’expertise, en partenariat avec l’Agence Française de Développement (AFD) avec à la clé 100 000 € pour les mésoprojets de solidarité international à budget entre 120 000 € et 300 000 €.
Cette 1ère édition a fait l'objet de 2 étapes clès : l'appel à manifestation d'intention (AMI) et dépôt du dossier complet une fois l'AMI validé par les membres du Comité d'Examen Paritaire passant de 29 AMI complets à 17 déclarés éligibles. 13 dossiers complets ont été transmis aux membres du Comité d'Examen Paritaire dont 6 lauréats.
Au total, une enveloppe de 570 408 € a été distribuée pour co-financer les 6 projets lauréats. A cet effet, le FORIM tient à remercier l'ensemble des associations de la diaspora ayant pris le temps de construire et déposer leurs projets, les membres du comité d'examen paritaire. L'essence du PRA/OSIM est de donner une réelle opportunité aux diasporas de soutenir de manière durable et concrète le développement des pays d’origine, faisant écho au-delà de la structuration, du renforcement de capacités et du financement de projets de développement local portés par les OSIM, à un fort maillage territorial de plus en plus important en France et ne pourrait le faire sans l'engagement des organisations issues des migrations au développement de leurs pays d'origine.
Liste des mésoprojets lauréats du PRAOSIM 2021
Malgré plusieurs rapports d’institutions internationales montrant des chiffres alarmants de déscolarisation, excisions, mariage ou grossesses précoces, des millions de jeunes filles sont toujours victimes de ces violations.
Une mobilisation et sensibilisation le 8 Mars pour les droits des femmes commence d'abord par rappeler l’importance des droits des filles, notamment dans des domaines importants au développement économique d’un pays tel que l’éducation. Cette journée met l'accent sur la nécessité de relever les défis auxquels sont confrontées les filles chaque jour, notamment dans les pays en voie de développement.
En ce 11 octobre, Le FORIM se joint aux autres organisations de l’ONU, à la société civile et aux filles du monde entier pour célébrer la Journée internationale de défense des droits des filles, qui cette année a pour thème « Génération numérique, notre génération ». Compte tenu des échanges lors du dernier Forum Génération Égalité, les technologies et l’innovation ont été définies comme une priorité dans les débats mondiaux sur l’égalité des sexes. Des responsables de la société civile, des gouvernements, du secteur privé et des mouvements de jeunes se sont engagé·e·s à établir des sociétés numériques plus inclusives en offrant l’égalité des chances pour les filles, en investissant dans des technologies féministes et en mettant les filles et les jeunes femmes au cœur des solutions d’innovation et d’apprentissage pour le monde numérique.
La Commission Genre du FORIM veille à la transversalité du genre dans l’association, dans ses projets et les projets qu’elle soutient. Cette évolution passe par un travail de sensibilisation et des réflexions internes et externes.
Cette année, celle-ci s’est mobilisée au mois de mars en proposant une table ronde réunissant des femmes leader d’associations sur cette thématique de la fracture numérique. Ce moment a permis de donner la place aux femmes de la diaspora dans leurs actions de leadership, de mobilisation et de solidarité pour répondre à une situation de crise.
La crise du Covid19 a agi comme un catalyseur d’inégalités. La fracture numérique et ses conséquences sur les femmes et les filles se sont intensifiées. Causant des difficultés d’accès aux services fondamentaux tels que les soins, le travail, la vie sociale et politique et en amenant de nouveaux danger, d’harcèlement, de décrochage scolaire, etc. Analyser ces conséquences sur les filles et les jeunes femmes pour proposer des solutions, sensibiliser les populations et accompagner de nouveaux projets est essentiel.
A Gossas au Sénégal, le projet « VerTIC’Elle : Création d’un espace numérique de travail à Gossas pour l’égalité des genres et un changement durable » – lauréat PRA/OSIM 2020 – souhaite encourager la scolarisation et l’autonomie des filles issues de milieux vulnérables grâce aux technologies numériques et notamment promouvoir la filière informatique chez les filles marquée par sa masculinisation.
Le projet a vu le jour suite au constant que des millions de jeunes filles connaissent à travers le monde : l’augmentation du taux d’abandon scolaire chez les filles et l’inégalité d’accès au numérique entre les filles et les garçons dans les pays d’origine. Le partenaire local l’Inspection d’Education et de Formation a souhaité principalement renforcer les capacités des jeunes filles à l’utilisation des outils informatiques pour leur apprentissage.
Ce projet de 20 166 euros avec un co-financement de 13 000 euros du PRA/OSIM pourra faire bénéficier 100 jeunes filles de classe de CM2 de l’apprentissage de différents outils informatiques. En savoir plus sur l’association
L’Association des Jeunes Guinéens de France (AJGF) a célébré, samedi 25 septembre, le lancement de leur projet "Une Ecole, Une bibliothèque - #1E1B".
"Ce projet consiste à équiper 4 écoles guinéennes d’un espace de lecture, avec des livres de littérature africaine et plus particulièrement guinéenne achetés auprès des Editions Ganndal, mais aussi des livres (mannuels scolaires, romans, bandes-dessinées…) collectés en France, au Canada et en Suisse."
Une cérémonie a été organisée au Complexe Scolaire Lamine Gueye à Conakry.
Le projet a été lancé en 2018 afin de répondre au besoin de développer des espaces dédiés aux activités littéraires en Guinée. Le lancement du projet fait suite à l’attribution en 2017, par l’UNESCO, du label de Capitale mondiale du livre, à Conakry, capitale de la République de Guinée, qui aura pour but d'encourager ces initiatives.
Dans ce sens, l’AJGF en partenariat avec l’Association Guinéo-canadienne, World Youth for Development (WYD) et le Club Littéraire du Centre Culturel Franco-Guinéen (CLCCFG), ont lancé ce projet qui permet de multiplier les points d’accès à la littérature mais aussi d’élargir, au-delà des frontières, l’offre littéraire.
Les 4 écoles concernées sont 3 écoles situées à Conakry : le complexe scolaire privé Lamine Gueye, le groupe scolaire privé La Plume et le groupe scolaire privé Flambeau. La 4e école est située à Guéckédou, en Guinée Forestière, le groupe scolaire public de Nongoa.
Le projet ne s’arrête pas là, une 5e école va être équipée grâce aux fonds récoltés et à l’énergie des collaborations et des équipes.
Engagé pour la jeunesse ici et là-bas
L’AJGF créée le 1er octobre 1997, afin "d’établir une passerelle entre les jeunes guinéens résidant en France et ceux résidant en Guinée, d’inciter les jeunes guinéens à s’intéresser aux problèmes ainsi qu’à l’avenir de la Guinée, de participer au développement socio-économique et culturel de la Guinée". Pour cela, l’organisation mène de nombreuses activités sociales, culturelles et professionnelles en France qui rassemblent toute la communauté guinéenne ainsi que des projets en éducation, santé, eau et en protection de l'environnement en Guinée.
S’investissant aussi en tant que membre du FORIM, dans la Commission jeunesse de la plateforme, elle contribue à porter de manière transversale l’inclusion de la jeunesse et le renforcement de son rôle dans le réseau des diasporas solidaires.
Journée Mondiale du Tourisme : un nouveau départ du secteur dans les pays d’origine :
Le 27 Septembre marque la 41ème la journée Mondiale du Tourisme, un secteur ayant particulièrement souffert pendant la crise sanitaire et qui reste un facteur de développement économique majeur pour les pays en voie de développement. Cette journée présente l’occasion de faire mieux connaître, mondialement, la valeur du tourisme sur les plans social, culturel, politique et économique ainsi que la contribution du secteur à la réalisation des objectifs de développement durable. Cette nouvelle édition depuis la pandémie Covid-19 a fait le point sur l’impact de la crise sanitaire sur le secteur du tourisme qui a précédé des mois de fermetures de frontières, engendrant une perte de 4000 milliards de dollars, selon l’ONU.
Le PRA/OSIM - dispositif d’appui et de co-financement de projets de développement local du FORIM – permet chaque année de faciliter la faisabilité des projets portés par la diaspora en France dans leur pays d’origine, notamment celui du tourisme durable. Entre 2009 et 2020, 7 projets portant sur le secteur ont été financés avec un total de 99 900 € accordés en s’appuyant sur des activités équitables et respecteuses de l’environnement.
Célébration de la 41ème Journée Mondiale du Tourisme à Abidjan - Côte d’Ivoire :
C’est à Abidjan en Côte d’Ivoire qu’a débuté, ce lundi 27 septembre 2021, la célébration officielle de la Journée mondiale du tourisme (JMT) dont le thème retenu par l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) est « Le tourisme pour une croissance inclusive ».
L’occasion pour cette nouvelle édition depuis la pandémie Covid-19 de faire le point sur l’impact de la crise sanitaire sur le secteur du tourisme qui a précédé des mois de fermetures de frontières, engendrant une perte de 4000 milliards de dollars, selon l’ONU.
D’après Siandou Fofana, ministre du Tourisme et des Loisirs de Côte d'Ivoire, les activités du tourisme ont enregistré une forte chute avec une proportion comprise entre 50 et 70% relativement à chaque État. Grâce à la solidité de l’organisation mondiale du tourisme (OMT) et les plans de résilience des pays, « le tourisme repart de nouveau avec des perspectives prometteuses pour une croissance plus inclusive au profit de tous ».
Selon le rapport de l’Organisation mondiale du tourisme, il existe une proportion beaucoup plus élevée de femmes «indépendantes» dans l’industrie du tourisme par rapport aux autres secteurs d’Afrique.
Dans plusieurs pays africains, Il est courant que les femmes travaillent sans rémunération dans des entreprises de tourisme à domicile en tant que "travailleuses familiales contributives". C’est pourquoi l’association Train & Travel with Women in Africa, lauréate PRA/OSIM 2019, a tenu à former plus de 100 jeunes femmes de 18 à 25 ans au métier de guide accompagnatrice dans la commune d’Attécoubé en Côte d’Ivoire.
Le projet représente une réelle opportunité de non seulement contribuer à l’inclusion sur le marché du travail des jeunes femmes souvent sans qualification, mais aussi de valoriser et favoriser le tourisme local. De plus, le projet s’inscrit dans les objectifs de la stratégie sectorielle « Sublime Côte d’Ivoire » ayant comme ambition de positionner la Côte d’Ivoire comme la 5ème destination touristique africaine.
Grâce au projet, les guides formées proposent différents circuits et activités culturelles : des tours au Bini Lagune, à la forêt de Banco, des randonnées à Bio Tiassalé, la découverte des artisans locaux ou encore un atelier pour apprendre à cuisiner la sauce arachide... De quoi bien valoriser les richesses culturelles de la commune des plateaux auprès des touristes locaux et internationaux avides et curieux de découvrir des expériences immersives et 100% ivoiriennes.
Pour rappel, le FORIM via son dispositif PRA/OSIM a financé 23 projets en Côte d’Ivoire entre 2003 et 2020 portés par la diaspora ivoirienne en France et a pu apprécier leurs activités sur place lors de sa dernière mission terrain en Novembre 2019. Force est de constater qu’une forte mobilisation de la diaspora ivoirienne, des autorités locales, des acteurs locaux et des pouvoirs publics ont été un facteur important à la réussite de plusieurs projets de développement local ivoiriens, favorisant la croissance économique, la sécurité alimentaire, l’emploi et le tourisme local.
Suivez l'association Train & Travel with Women for Africa : https://www.trainandtravel.org/en/
Venir en aide aux personnes en situation de précarité sociale, sanitaire, éducative, économique, cultuelle et trouver des solutions pour les accompagner et améliorer leurs conditions de vie, telle est la force de frappe de l'association Metishima en France ou en Côte d'Ivoire.
Durant la guerre en Côte d’Ivoire, des populations entières se sont réfugiées dans les pays limitrophes (Liberia, Guinée,…). Les organisations CARITAS Côte d’Ivoire et l’UNHCR ont mis en place une action « appui au retour volontaires des réfugiés ivoiriens en Côte d’Ivoire », dans la Région du Cavally après la crise post-électorale de 2010.
Depuis la fin de cette guerre, le gouvernement ivoirien, la population ivoirienne ainsi que certaines organisations humanitaires oeuvrent pour permettre aux personnes rapatriées, déplacées et vulnérables de retrouver progressivement des conditions de vie convenables.
Au cours de plusieurs voyages dans la région du Cavally, plus particulièrement à Guiglo, les membres de l’association ont rencontré les enseignants, les deux directeurs du groupe scolaire Nicla (école primaire et maternelle), les représentants de l’État, les autorités coutumières ainsi que les parents d’élèves et ont constaté un manque d'infrastructure adéquat pour accueillir les enfants et pouvoir assurer une éducation dans des conditions optimales.
C'est ainsi que l'association via son projet "offrez-leur une école" a mis en place la construction d'une école avec une nouvelle infrastructure et de nouveaux mobiliers. Grâce au projet, 90 enfants en moyenne sont scolarisés (dont 60% de filles.
Témoignage en image :
D’après un rapport du Fonds international de développement agricole (FIDA), “les données montrent que les familles dépensent l’argent envoyé par la diaspora d’abord dans les secteurs de première nécessité tels que la nourriture, les vêtements, les frais liés à l’éducation ou encore à la santé. Et d’autres utilisent ces fonds pour améliorer le développement de leur récolte agricole ou leur équipement”. Dans ce contexte, le nombre de coopératives agricoles, situées pour la plupart en zone rurale, s’est démultiplié, avec de plus en plus de regroupement de plusieurs associations de la diaspora en partenariat avec les associations locales qui ont permis la création de plusieurs coopératives.
Par définition, la coopérative permet aux agriculteurs de mutualiser leurs terres. Elle leur permet également, par la mutualisation des apports financiers, d’acquérir un ensemble d’équipements et matériels qu’ils n’auraient pas pu acquérir seuls. Par la mutualisation à la fois des ressources financières, des outils de production et de la terre, la coopérative favorise une rentabilité et une productivité plus grandes qu’elles ne l’auraient été si chacun exploitait individuellement ses ressources.
Grâce à l’apport et la mobilisation de la diaspora, elle permet aussi à ses bénéficiaires d’acquérir des compétences techniques comme des nouvelles pratiques de culture de sol ou l’intégration d’alternatives plus écologiques, et des compétences plus inclusives comme la possibilité de lire, écrire, faire de la comptabilité, etc… que certains bénéficiaires auront développé lors de formations professionnelles dispensées. Depuis le lancement de son premier appel à projets en 2003, le dispositif PRA/OSIM connait une forte demande de financements de projets de co-développement dans le secteur agricole et les activités génératrices de revenus.
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Entre 2003 et 2020, 135 des projets financés interviennent dans le secteur de l’agriculture et le développement rural, soit un 21% du financement global, avec un montant financé de 1 855 506 euros avec plus d’un million de bénéficiaires (selon les données prévisionnelles fournies par les OSIM) entrainant pour la plupart la création de coopératives.
La création de coopérative d’autre part permet une réelle autonomie financière et alimentaire à ses bénéficiaires, en particulier celles des femmes, généralement assignées aux tâches domestiques ou exposées aux risques d’insécurité des zones d’intervention. Parmi ces 135 projets financés, 28 projets ont une approche genre : les femmes sont les principales bénéficiaires de l’action, leur donnant de nombreux avantages pour développer :
Même si la diaspora et les associations locales sont souvent confrontés aux mêmes obstacles : accès difficile aux financements, manque d’infrastructures de base comme l’électricité ou les routes, le FORIM via son dispositif PRA/OSIM continue d’accompagner sur l’importance de continuer à encourager le financement, la valorisation et le renforcement des capacités de la diaspora en France permettant la création d’un environnement propice au développement durable dans les pays d’origine.
Au Togo, l'association ETFCT a développé un projet de création d’un centre de formation agropastoral ; activités génératrices de revenus ; formation professionnelle dans le domaine de l’élevage et de l’agriculture afin d'en faire un véritable centre expérimental pour l’école supérieure agronomique de l’université de Lomé dans les années à venir. Le projet initial était de créer une coopérative coopérative spécialisée dans production et fabrication des produits laitiers et a pu diversifier les récoltes.
En Guinée Conakry, l'association Maison de la Citoyenneté Mondiale a développé un projet d'optimisation agricole pour la sécurité alimentaire afin d'améliorer les conditions de production durables pour les paysans, intensifier la production (3 récoltes par an) et augmenter l’offre de produits alimentaire locale dans le district de Bamba en partenariat avec la coopérative "AGROPASTORALE BAMBA SOUTAINABLE POUR LE DEVELOPPEMENT" qui assure la gestion du projet sur place.