Le samedi 20 novembre 2021, l'OFAD fêtera ses 10 ans d'existence.
A l’occasion de son 10ème anniversaire, l’OFAD choisit à travers son bilan et sa projection, de partager les clés de sa pérennité. Ce moment sera un moment rencontre, d’échanges et de bonnes pratiques. Le thème principal sera "Genre et partenariat : option ou nécessité ?"Conférence et ateliers vont éclairer les participant et participantes avec la participation des coachs pour animer les discussions. Ce sera l’occasion pour l’OFAD de continuer à être à leur écoute, comme elle le fait depuis une décennie. La rencontre sera clôturée par un cocktail de l’amitié ! L'événement aura lieu de 14h à 19h au 9, rue Vaugirard, 75006 Paris.
L'Organisation des Femmes Africaines de la Diapora, L’OFAD
"Fédération d’Associations et d’Entreprises dirigées par des Femmes Africaines vivant hors de leur continent. L’OFAD rassemble les forces et compétences des femmes africaines dans différents domaines d'activités. Grâce à l'expérience de ses membres sur le terrain, l’OFAD se doit d’aborder l'ensemble des problématiques qui concernent les femmes."
L'organisation définit ses missions en 4 points importants :
Afin de mener à bien ses missions, l'organisation créer des synergies, met en place des stratégies et des outils permettant la visibilité et la reconnaissance des projets et favorise les échanges économiques des femmes ici et là-bas.
L'OFAD se mobilise aussi pour certains temps forts de l'année, elle organise des événements pour la Journée internationale pour les droits des femmes mais aussi le 31 juillet pour la Journée internationale pour les droits des femmes africaines.
Membre du FORIM, l'organisation participe aux différentes réflexions stratégiques au sein de la Commission Genre ainsi que la Commission structuration. Les membres de l'organisation participent également aux temps fort de la vie associative du FORIM permettant de nourrir les discussions et la vision de l'organisation.
Dans le cadre de son dispositif d’études et de capitalisation, le FORIM avec l’accompagnement du réseau F3E a lancé une étude sur la Capitalisation d’expériences et de pratiques des Opérateurs d’appui (OPAP) du PRA/OSIM.
Depuis 2010, les Opérateurs d’Appui interviennent dans le dispositif PRA/OSIM afin d’accompagner et appuyer les porteurs de projets souhaitant candidater à l’appel à projets. Ces opérateurs sont membres du FORIM ayant candidatés à la fonction et sélectionnés par le Comité d’Examen Paritaire. Les associations candidates à l’appel à projets PRA/OSIM doivent obligatoirement être accompagnées par un OPAP de leur choix, qui appose son visa, en amont du dépôt, au dossier de candidature.
Les missions des Opérateurs d'Appui [OPAP] jouent un rôle clé dans la déclinaison des principes et objectifs du PRA/OSIM en transversalité avec ceux du FORIM, puisqu’ils permettent la démultiplication des accompagnements collectifs et personnalisés, des formations et autres activités auprès des OSIM sur tout le territoire français contribuant ainsi à la montée en compétences des associations et les porteurs de projets.
A travers des commissions permanentes organisées chaque année, les OPAP participent à la réflexion autour des pratiques et des évolutions du dispositif tout en bénéficiant d’un renforcement de capacités et montée en compétences spécifiques à leur rôle (au cycle de projet (réalisation jusqu’au compte rendu), à l’accompagnement des associations et sur la prise en compte des thématiques transversales comme le genre, la jeunesse et l’environnement).
La fonction des OPAP dans le dispositif n’est plus à prouver et reste tout à fait pertinente vu la spécificité de l’appel à projets PRA/OSIM. L’expérience acquise par les OPAP - étant eux-mêmes des contributeurs actifs dans la vie associative en France et dans les pays d’origine - a déjà contribué à l’amélioration croissante de la qualité des projets mis en œuvre, au renforcement de compétences des OSIM et des OPAP eux-mêmes. Après 18 ans d’activité, leur rôle a fait ses preuves, a obtenu des résultats et constitue une source de savoirs et pratiques multiples.
C’est pour cette raison que le FORIM lance une étude de capitalisation sur les pratiques d’accompagnement des OPAP. L’objectif ? Valoriser encore plus le rôle des OPAP et consolider leur positionnement comme une instance de référence dans le secteur de la solidarité internationale « ici » et « là-bas ». Ainsi, cette étude vise à repérer les pratiques innovantes des OPAP et consolider un référentiel harmonisé et signé « FORIM » d’accompagnement dans le cadre du PRA/OSIM.
Cette étude sera menée par une équipe de consultance experte en processus de capitalisation avec Marianne POISSON (cheffe de mission), Robin NAEL, Marina LAABI et Veronica SUMALAYA. Des ateliers collectifs en ligne et en présentiel avec les chargé.e.s d’accompagnement ainsi qu’un séminaire OPAP dédié à l’étude sont prévus entre septembre 2021 et janvier 2022.
Journée Mondiale du Tourisme : un nouveau départ du secteur dans les pays d’origine :
Le 27 Septembre marque la 41ème la journée Mondiale du Tourisme, un secteur ayant particulièrement souffert pendant la crise sanitaire et qui reste un facteur de développement économique majeur pour les pays en voie de développement. Cette journée présente l’occasion de faire mieux connaître, mondialement, la valeur du tourisme sur les plans social, culturel, politique et économique ainsi que la contribution du secteur à la réalisation des objectifs de développement durable. Cette nouvelle édition depuis la pandémie Covid-19 a fait le point sur l’impact de la crise sanitaire sur le secteur du tourisme qui a précédé des mois de fermetures de frontières, engendrant une perte de 4000 milliards de dollars, selon l’ONU.
Le PRA/OSIM - dispositif d’appui et de co-financement de projets de développement local du FORIM – permet chaque année de faciliter la faisabilité des projets portés par la diaspora en France dans leur pays d’origine, notamment celui du tourisme durable. Entre 2009 et 2020, 7 projets portant sur le secteur ont été financés avec un total de 99 900 € accordés en s’appuyant sur des activités équitables et respecteuses de l’environnement.
Célébration de la 41ème Journée Mondiale du Tourisme à Abidjan - Côte d’Ivoire :
C’est à Abidjan en Côte d’Ivoire qu’a débuté, ce lundi 27 septembre 2021, la célébration officielle de la Journée mondiale du tourisme (JMT) dont le thème retenu par l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) est « Le tourisme pour une croissance inclusive ».
L’occasion pour cette nouvelle édition depuis la pandémie Covid-19 de faire le point sur l’impact de la crise sanitaire sur le secteur du tourisme qui a précédé des mois de fermetures de frontières, engendrant une perte de 4000 milliards de dollars, selon l’ONU.
D’après Siandou Fofana, ministre du Tourisme et des Loisirs de Côte d'Ivoire, les activités du tourisme ont enregistré une forte chute avec une proportion comprise entre 50 et 70% relativement à chaque État. Grâce à la solidité de l’organisation mondiale du tourisme (OMT) et les plans de résilience des pays, « le tourisme repart de nouveau avec des perspectives prometteuses pour une croissance plus inclusive au profit de tous ».
Selon le rapport de l’Organisation mondiale du tourisme, il existe une proportion beaucoup plus élevée de femmes «indépendantes» dans l’industrie du tourisme par rapport aux autres secteurs d’Afrique.
Dans plusieurs pays africains, Il est courant que les femmes travaillent sans rémunération dans des entreprises de tourisme à domicile en tant que "travailleuses familiales contributives". C’est pourquoi l’association Train & Travel with Women in Africa, lauréate PRA/OSIM 2019, a tenu à former plus de 100 jeunes femmes de 18 à 25 ans au métier de guide accompagnatrice dans la commune d’Attécoubé en Côte d’Ivoire.
Le projet représente une réelle opportunité de non seulement contribuer à l’inclusion sur le marché du travail des jeunes femmes souvent sans qualification, mais aussi de valoriser et favoriser le tourisme local. De plus, le projet s’inscrit dans les objectifs de la stratégie sectorielle « Sublime Côte d’Ivoire » ayant comme ambition de positionner la Côte d’Ivoire comme la 5ème destination touristique africaine.
Grâce au projet, les guides formées proposent différents circuits et activités culturelles : des tours au Bini Lagune, à la forêt de Banco, des randonnées à Bio Tiassalé, la découverte des artisans locaux ou encore un atelier pour apprendre à cuisiner la sauce arachide... De quoi bien valoriser les richesses culturelles de la commune des plateaux auprès des touristes locaux et internationaux avides et curieux de découvrir des expériences immersives et 100% ivoiriennes.
Pour rappel, le FORIM via son dispositif PRA/OSIM a financé 23 projets en Côte d’Ivoire entre 2003 et 2020 portés par la diaspora ivoirienne en France et a pu apprécier leurs activités sur place lors de sa dernière mission terrain en Novembre 2019. Force est de constater qu’une forte mobilisation de la diaspora ivoirienne, des autorités locales, des acteurs locaux et des pouvoirs publics ont été un facteur important à la réussite de plusieurs projets de développement local ivoiriens, favorisant la croissance économique, la sécurité alimentaire, l’emploi et le tourisme local.
Suivez l'association Train & Travel with Women for Africa : https://www.trainandtravel.org/en/
Après un an de pause pendant la crise sanitaire, l’UGVF (Union Générale des Vietnamiens de France) reprend, en cette rentrée 2021, les cours de vietnamien, chaque samedi. Avec une histoire de plus de 50 ans, ces cours mêlent l’enseignement de la langue et des activités culturelles.
"L’idée est que chaque samedi, ils vont au Vietnam, à un petit Vietnam dans lequel ils baignent dans la culture, les valeurs et les traditions vietnamiennes" UGVF.
Vê Nguôn (Retour aux sources) est le nom de l’école pour enfants et adolescents, appartenant à l’UGVF. L’école propose des cours de vietnamien pour les enfants de 3 à 14 ans, chaque cours a des méthodes et un contenu spécifiques adaptés aux enfants vietnamiens de France. Des cours adultes sont aussi proposés.
En plus du cours de langue vietnamienne, Vê Nguôn propose un cours de danse typiquement vietnamien, danse des éventails, danse du chapeau, danse des lanternes, … avec des costumes traditionnels, des cours d'artisanat où les enfants peuvent apprendre à fabriquer des lanternes, des cerfs-volants, faire des collages, peindre, mouler, etc., tout en les aidant à promouvoir leur créativité esthétique, stimulant leur sens avec différentes matières et couleurs (bois, tissu, papier, fleurs, feuilles, …) et un cours Vo Son Long, un art martial traditionnel du Vietnam.
L'UGVF depuis plus de 50 ans
L'organisation a pour objectif de "défendre les droits et intérêts légitimes de la communauté vietnamienne, constituer un trait d’union entre la communauté vietnamienne de France avec le Vietnam et contribuer au développement des relations multiformes entre le Vietnam et la France."
Il y a 2 ans, l’UGVF affirme sa volonté de renforcer les activités culturelles et sociales. Pour cela, elle organise, de nombreux événements culturels et traditionnels, notamment pour Le Têt, nouvel an lunaire, le festival Ici Vietnam Festival, ou encore les camps d'été et de Pâques, moments importants de rassemblement et de cohésion.
Une importante mobilisation en faveur du développement au Vietnam est mise en place grâce à une connexion d'acteur et actrices. C’est dans ce sens que l’organisation s’est mobilisée avec d’autres associations pour soutenir le Vietnam face à la pandémie.
En parallèle, l’UGVF décrypte des faits sociétaux et les diffuse afin de faciliter l'accès à l'information et sensibiliser sur de nombreuses thématiques.
Active en tant que membre du FORIM, présente au Conseil d'Administration, l'UGVF participe activement au travail de renforcement des actions des diasporas, ici et là-bas.
Retrouvez le détail des activités éducatives et culturelles du samedi et toute autre information sur le site http://www.ugvf.or
« Les premiers jours on était plutôt attentifs et en observation de ce qui se passait » – raconte Abdoulaye Bah, Président de la Coordination des Associations des Guinéens de France - Dès qu’on a compris que le coup d’état était confirmé, nous avons mis en place une commission ad hoc qui intègre l’ensemble des associations membres du réseau, pour décider en commun notre positionnement actuel et ensuite le rendre publique via une déclaration officielle ».
Quelques jours après le coup d’état, les militaires ont lancé un appel à mobilisation de la société civile de l’intérieur et de l’extérieur du pays, pour dialoguer avec les différentes composantes de la population, diaspora guinéenne de France incluse.
Dans le contexte actuel, le positionnement de la CAGF s’inscrit dans une démarche de réflexion collective et dans une logique de contribution à la co-costruction de l’avenir du Pays d’origine.
« C’est une occasion d’apporter notre expertise, les compétences de la diaspora guinéenne - rajoute Abdoulaye Bah -. Il s’agit d’une opportunité pour faire valoir les sujets sur lesquels on travaille, notamment le transfert des fonds et des compétences, la mobilisation des diasporas sur les questions sociétales, les investissements productifs. Et puis -conclut-il « notre volonté est d’accompagner l’ensemble des forces vives pour contribuer à éviter les erreurs du passé ».
La CAGF, regroupement d'associations issues des migrations créée en 1997, compte 170 associations à son actif dans l'ensemble du territoire français. Membre fondateur du FORIM dont elle a exercé la première présidence, elle est très engagée sur les questions de la jeunesse, de l’insertion socio-professionnelle, de l’entreprenariat et des investissements productifs des migrants dans les Pays d’origine. La CAGF compte parmi ses adhérents une organisation entièrement portée entièrement par des jeunes : C’est l’AJGF, Association des Jeunes Guinéens de France (un de ses administrateurs, Ibrahima Pellel Diallo, est à présent le référent de la commission jeunesse du FORIM).
La détérioration graduelle de la vie politique en Guinée dans les dernières années, la situation économique du pays - le chômage massif des jeunes avant tout - mais aussi les violences policières, ont provoqué le départ de milliers de jeunes au point que la Guinée est parmi les 4 premiers pays de provenance des demandeurs d’asile en France.
Les organisations guinéennes issues des migrations, à travers leurs initiatives citoyennes, apportent une forte contribution à l’intégration des jeunes étudiants dans le Pays d’accueil.
Le dialogue entre institutions et organisations de la diaspora est essentiel pour faciliter l’action de ces dernières sur leurs territoires d’origine. Les OSIM voient parfois leurs initiatives de terrain freinées par un manque de communication et de collaboration avec les autorités locales ou les administrations centrales et déconcentrées. En retour, les autorités souhaitent que leurs actions s’intègrent dans les plans de développement nationaux/locaux pour canaliser au mieux les ressources et mettre en place des stratégies cohérentes entre acteurs. Comment concilier les deux ?
Dans sa mission d’appui aux diasporas, le FORIM a développé des outils permettant de développer, renforcer, pérenniser les liens entre ses membres, fédérations-pays, et les acteurs (institutions, sociétés civiles, médias etc.) des pays d’origine, notamment ceux actifs autour des enjeux Migrations et Développement. Ainsi, le FORIM a initié en 2012 le cycle de Rencontres Internationales Sud, des rencontres multi-acteurs co-organisées dans les pays d’origine avec les fédérations de diasporas elles-mêmes autour des enjeux principaux dans le pays. Depuis, une quinzaine de rencontres de ce type ont été organisées, selon différentes approches. Pour faire remonter les connaissances apprises lors de ces rencontres, le FORIM a mené une démarche de capitalisation en 2020 avec les porteurs de ces rencontres. Ce travail a débouché sur l’écriture d’un « Guide pratique à destination des diasporas », basé sur les contributions faites lors de 3 temps d’échanges entre octobre et décembre 2020.
En parallèle, entre 2017 et 2020, le FORIM a participé en consortium au Programme MADE – Afrique de l’Ouest, dont l’objectif principal était de renforcer la contribution des migrations au développement de la zone CEDEAO à travers plusieurs piliers, dont la mobilisation des diasporas, que le FORIM a piloté. A la fin de ce programme, un travail de capitalisation, « La parole et le capital », a été produit en interrogeant les acteurs impliqués. Il interroge la nécessaire collaboration entre diasporas et acteurs locaux dans la construction, l’appui, le financement et la communication des dynamiques de développement local.
Les guides sont disponibles aux liens suivants :
Le 14 Août 2021, un nouveau séisme a touché le Grand sud d'Haïti : les départements du Sud, des Nippes et de la Grande Anse. Le bilan est déjà lourd avec un nombre très élevé de pertes humaines et des importants dégâts matériels. En étroit contact avec ses partenaires locaux, la diaspora haïtienne présente en France s’engage rapidement à lancer plusieurs initiatives.
« Dès la première heure, la PAFHA, ses associations membres, ses partenaires locaux et le secteur religieux haïtien en France, se sont mobilisés pour apporter un soutien aux familles et personnes touchées » s’exprime la Présidente de la PAFHA Esther Saint-Ville, « nous souhaitons manifester notre solidarité envers les victimes de cette catastrophe à travers des actions concrètes de nos membres et partenaires en France et sur le terrain ».
A l'issue d'une première réunion avec plusieurs associations et partenaires, la communauté haïtienne a développé un plan d’action qui prévoit :
- A court termes : gestion de l'urgence, rapprochement vers les partenaires, les autorités et associations locales pour les premiers secours, Collecte de dons financiers
- A moyen terme : engagement dans une réflexion pour les contributions de la diaspora à la reconstruction et le développement durable des zones touchées.
Sur le terrain, en se rapprochant de la protection civile de Haïti, le groupe d’acteurs de la solidarité internationale intervient dans une zone qui leur a été affecté en raison du fait qu’aucune autre organisation n’ y intervient encore. A Cavaillon, une première mission conjointe composée de 14 personnalités, dont le personnel hospitalier, met rapidement en place une clinique mobile, afin d’apporter des soins à plusieurs centaines de personnes. Une prochaine mission et prévue pour la ville d’Aquin, avec une équipe des médecins mobilisée pour garantir les soins de première urgence.
Plusieurs initiatives sont en cours aussi en France, telles qu’une collecte de fonds destinée pour les actions liées à la post-urgence : envoi de nourriture et kit hygiénique et de première urgence.
Une soirée de solidarité le 9 Septembre pendant la Fête de l’Humanité, que cette année a dédié une rue à Haïti.
« Nous prenons en compte les expériences du passé et tirons les leçons des interventions mises en œuvre lors des catastrophes précédentes, à savoir que les Haïtiens doivent être pleinement acteurs des initiatives à venir » déclare Esther Saint-Ville, Présidente de la Plateforme des associations franco-haïtiennes. Et elle conclut : « Au-delà des premières actions d'urgences, il sera important de se pencher sur la reconstruction et le développement des zones concernées.
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Dans le cadre de sa mission d' appui aux membres, le FORIM a été reçu en audience avec la Coordination d’Appui aux Projets de Solidarité Internationale pour le Congo Brazzaville (CAPCOS), par le Premier ministre congolais M. Anatole Collinet Makosso et sa délégation ministérielle, dans le cadre de sa visite officielle en France.Plusieurs messages forts ont été portés à la connaissance de la délégation ministérielle par le Président Mackendie Toupuissant, qui a tenu à souligner les enjeux d’une collaboration entre le FORIM et le Gouvernement du Congo-Brazzaville. S.E. le Ministre a été sensibilisé à l'égard de l'opportunité d'initier et alimenter une dynamique de dialogue et de collaboration entre les diasporas congolaises et les représentants de l’état congolais, ainsi que de renforcer la structuration et le soutien des diasporas congolaises installées en France. Plusieurs propositions de perspectives concrètes de court terme ont été évoquées au cours de cette rencontre, dont notamment le projet d'une étude sur le profil de la diaspora congolaise installée en France. En outre, cette rencontre a posé les bases pour l'organisation conjointe, en début 2022, d’une mission de suivi d’une vingtaine de projets de développement local portés par les diasporas au Congo Brazzaville, associée à un temps d’échange sur la participation des diasporas au développement local dans les régions du Congo, sur la base de la restitution des enseignements de la mission de suivi.
La délégation du FORIM :- Mackendie TOUPUISSANT, Président du FORIM- Grégoire KOUNGA, Administrateur du FORIM, Référent de la commission de structuration des Diasporas- Nicolas LAURENT, Directeur Exécutif du FORIM ;- Ernest MOUSSOKI, Président de la CAPCOS-Thomas MATALI, Vice-président du CENA, Référent de la coopération décentralisée Congo-Bretagne- Christian Vaz MILEBE, Conseiller auprès du bureau de CAPCOS, Référent de la coopération décentralisée Congo-Yvelines.