En ce jour de lutte internationale contre les violences faites aux femmes et aux filles, le FORIM se joint aux organisations de l’ONU et se mobilise pour sensibiliser et agir afin de bâtir un monde sans violence basée sur le genre. Par le biais de plusieurs associations œuvrant à la défense des droits des femmes et des filles et le travail de la Commission genre qui travaille à la transversalité du genre dans l'association, ses projets et les projets qu'elle soutient, l’engagement du FORIM et ses membres est marqué par cette volonté.Malgré l’ouverture de la parole et la sensibilisation au sujet, la société civile dénonce, aujourd’hui et tout au long de l’année, la persistance des violences à l’égard des femmes et des filles et le manque de solutions. La situation s’est aggravée depuis le début de la crise sanitaire avec ce que nomme l'ONU, la "Pandémie fantôme". Dans certains pays, les violences contre les femmes et les filles ont été multipliées par 5. C'est pourquoi les associations du FORIM se mobilisent aujourd'hui.
La PACOF, avec le soutien de l'Ambassade du Congo RDC, organise le samedi 27 novembre une journée de vernissage des actes du Symposium, enrichie d'interventions et présentations d'initiatives.
Cette mobilisation fait suite au 1er Symposium des Congolais de l'Etranger de France, qui avait eu lieu le 19 juin, où plusieurs recommandations étaient ressorties.
Modérateur de la Journée : KILEMA Kaminimini.
14H00 : début de la 1ère partie de la manifestation
14H00 – 14H30’ : Accueil des invités, des délégations des Responsables des Plateformes, des Réseaux d’associations des diasporas des pays installées en France.
14H30 – 14H40’ : Arrivée de la délégation du Sénat de la République Démocratique du Congo conduite par l’honorable Sénateur Augustin KAPYA NTUMBA et des officiels.
14H45 – 15H55’ : Visite de vernissage sous la conduite de l’artiste peintre sculpteur togolais Yao METSOKO ; échanges avec l’artiste.
16H00’ : Début de la 2ème partie de la manifestation
Compte-rendu du séminaire d’immersion au Maroc par Mesdames et Messieurs Laure YAMBA (Président de l’association Femmes et Changement de Comportement), Laura MASSELA (Présidente de l’association Solidarité Batoto et Vice-présidente de la PACOF) ; Claire TAWAB (Président de l’association CEFOK) ; Solange MER(Président de l’association Aide au Peuple Oublié et Vice-présidente de la PACOF) ; Lway MALEME (Chargé des missions à Via le monde) et KINGOMBE (médecin infectiologue)
Allocution du Chargé d’Affaires a.i. de l’Ambassade de la République Démocratique du Congo en France, Monsieur TAMBU MIKUMA Jean.
Présentation de l’Ecole de la Patrie Congolaise (EPC) par le Président de la Plate-forme des Associations Congolaises de France (PACOF).
Leçon inaugurale de l’EPC par l’Honorable Sénateur Augustin KAPYA NTUMBA.Sujet : : « Les Honorables Députés et Sénateurs congolais représentent-ils aussi les Congolais de l’Etranger à l’Assemblée Nationale et au Sénat de la RDC ? Si oui, comment ? Si non pourquoi ? »Jeu questions/réponses
Présentations des Actes et Résolutions du Symposium du 19 juin 2021 par Noellie MANKATU et Laure YAMBA et des invités par le Président de la PACOF Jean MULUMBA BUSTHIE MUTUAKASHALA.
Baptême des Actes
18H30’ : Cocktail dinatoire : mets congolais et afro-caraïbéen (Togo, Haïti).
Adresse : 32 Cours Albert Ier
Ambassade de la République Démocratique du Congo, 75008 Paris
Contact :06 25 40 94 40 jmutuakashala@gmail.fr06 26 47 69 21 kilemak@gmail.com
Séminaire d'immersion au Maroc
Un temps est donc prévu pour revenir sur la visite de la PACOF au près du Conseil de la Communauté Marocaine à l'Etranger (CCME). Cette visite a eu lieu du 15 au 22 novembre, dans le but, d'en apprendre sur l'expérience marocaine, la genèse de l'initiative et les actions menée afin d'inspirer la PACOF dans son dialogue avec les autorités de la République Démocratique du Congo.
Le CCME est une institution nationale consultative créée en 2007. Il a pour mission de "veiller à la défense des intérêts des Marocain(e)s de l'étranger à l'intérieur et à l'extérieur du Maroc, de renforcer leur contribution au développement économique, social et humain du pays et de consolider les rapports d'amitié et de coopération entre le Maroc et les pays de résidence".
La PACOF a pu, dans ce cadre, assister à un ensemble de conférences et de rencontres avec des acteurs institutionnels, médiatiques, universitaires, culturels, cultuels et associatifs impliquées dans les questions migratoires.
Vous pourrez découvrir cela lors de la présentation à l'événement du 27 novembre.
A la suite de votre mobilisation sur la phase 1 de l’accompagnement jeunesse qui a permis la réalisation de l’état des lieux jeunesse du FORIM au travers d’un questionnaire et des entretiens sur lesquels certains d’entre vous ont été mobilisé, nous vous sollicitons pour un atelier de travail qui amorce la phase 2 de cet accompagnement autour d’une réflexion pour co-construire une stratégie de mobilisation et d’accompagnement des jeunes au sein du FORIM.
Cet premier atelier de co construction permettra d’analyser collectivement, de consolider et de mettre en perspective les différents éléments et recommandations sortis de la phase 1, tout en priorisant les axes de travail à opérationnaliser.
Date de l’atelier : mardi 30 novembre 2021
Heure : 18h-20h
En ligne : Lien de connexion (l’inscription par ce lien est obligatoire pour participer à cet atelier)
PS : Ce temps de co-construction sera animé par la structure accompagnatrice, le Réseau Euromed France.
Pour en savoir plus sur cet accompagnement jeunesse et/ou participer aux différentes phases, merci de contacter Tilate KOMBATE, référent jeunesse, sur tkombate@forim.net
Le 8 octobre 2021, s’est tenu à Montpelier le Sommet Afrique – France. Cette édition 2021, consacrée à la jeunesse d’Afrique et de France avait pour ambition de regrouper des jeunes entrepreneurs, artistes, chercheurs, athlètes, étudiants, personnalités engagées d’Afrique et de France sans la présence de chefs d’Etat et d’autorités institutionnelles
Le Nouveau Sommet Afrique-France a servi de cadre pour questionner et redéfinir les fondamentaux de la relation entre la France et le continent africain, en écoutant la jeunesse, en répondant à ses interrogations et en créant un nouvel espace de dialogue orienté vers l’avenir.
Les participants à ce sommet (environ 3 000) ont échangé sur une demi-journée, autour de cinq (05) grandes thématiques – l’engagement citoyen, l’entreprenariat et l’innovation, l’enseignement supérieur et la recherche, la culture et le sport. Les débats ont abordé les approches sur la manière de nouer des nouveaux réseaux, de concevoir des projets communs, de bâtir des ponts.
Sur la base des rencontres organisées en amont en janvier 2021 avec les représentants du MEAE chargés de l’organisation du Sommet et en mai 2021, entre le FORIM et l’ambassadeur ITTE, envoyé spécial pour la diplomatie publique en Afrique, une liste de jeunes issus du réseau du FORIM a été invitée. Trois (03) d’entre eux ont été mobilisé pour préparer les échanges en amont du sommet. Le COSIM Occitanie Méditerranée, représentant du FORIM sur ce territoire, a également participé aux activités de préparation du Sommet en lien avec la vice-présidence de la Métropole Montpellier, avec le RRMA Occitanie Coopération et en présence d’une délégation de l’Elysée dont l’ambassadeur Sylvain ITTE.
Lors du sommet, deux lauréats et ambassadeurs du programme génération climat sont intervenus dans des tables rondes qui ont eu lieu sur la session Engagement citoyen et démocratie. A leurs côtés, le FORIM a également dépêché à ce Sommet, une délégation officielle d’administrateurs jeunes de son réseau, Ibrahima DIALLO (AJGF) et Hamsa Adamou Anarouwa (CONIF) respectivement référents élus de la commission jeunesse et du programme génération climat (PGC). Des représentants jeunes de membres du FORIM étaient également présents, comme l’UABF.
A l'occasion de la Journée Internationale des Migrant.e.s 2021, le FORIM, ses membres et le réseau des diasporas solidaires vous donnent rendez-vous le 18 décembre pour une journée de réflexion et de mobilisation pour valoriser et défendre l'engagement associatif des personnes issues des migrations.
Chaque année, à l'occasion de la Journée Internationale de Migrant.e.s le FORIM lance un cycle d'événements de réflexion et de mobilisation dans l'objectif de réaffirmer de promouvoir les droits des migrant.e.s, dissiper les préjugés et sensibiliser l’opinion publique à la contribution des personnes issues des migrations dans les domaines économique, politique, culturel et social.
Pour l'édition 2021, à l'occasion des célébrations des 40 ans du droit d'association des étrangers, le FORIM et ses membres mettent au cœur de sa réflexion la thématique de l'engagement associatif des diasporas pour la cause des migrant.e.s.
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Le vendredi 23 octobre, le FORIM a signé la convention de partenariat avec Expertise France pour le lancement du programme « Améliorer le dialogue entre OSC et pouvoirs publics pour des politiques migratoires justes et pertinentes en Afrique » dans le cadre de l’initiative Coopération Régionale des Politiques Migratoires, mis en œuvre par Expertise France et financé par l’Agence Française de Développement (AFD).
Ce Programme vise à renforcer les organisations de la société civile, locales et issues de la diaspora, dans le suivi des politiques migratoires de 7 pays d’Afrique (Tunisie, Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire, Mali, Guinée, Cameroun) et à créer des espaces de dialogues avec les autorités sur ces questions. Dans chaque pays, des cartographies, programmes de renforcements, ateliers, ainsi que le soutien à des initiatives pilotes offriront des opportunités aux associations de construire leurs priorités d’action et de plaidoyer.
Le FORIM met en œuvre ce programme en consortium avec le GRDR – Migration, Citoyenneté Développement et le Collectif Loujna Tounkaranké, un réseau d’associations d’Afrique du Nord et de l’Ouest. Ensemble, ces trois organisations défendent l’accès aux droits pour toutes les personnes migrantes, et la contribution des diasporas au développement des pays d’origine et d’accueil.
Contact et infos : Benoit Mayaux, chargé de plaidoyer, bmayaux@forim.net
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Le second appel à projet de l’année 2021 du Programme Génération Climat (PGC), lancé le 03 septembre, a clôturé le 18 octobre.
Cet appel à projet a enregistré au total 198 dossiers de candidatures dont 50 dossiers soumis complets. La cinquantaine des projets complets font l’objet d’une présélection depuis le 25 octobre. Ceux d’entre eux qui seront jugés éligibles sur la base des critères du dispositif, seront soumis à une analyse approfondie des membres du jury en vue de la sélection des projets lauréats en décembre 2021.
Pour rappel, le PGC est un programme coporté par le FORIM et la Fondation pour la Nature et pour l’Homme (FNH). Il vise à favoriser l’engagement des jeunes, et particulièrement ceux/celles issu-e-s des migrations, en tant qu’acteurs/trices de la lutte contre le changement climatique en France et dans les pays du Sud.
Il s’inscrit dans la suite du partenariat engagé depuis 2013 entre le FORIM et la Fondation pour la Nature et pour l’Homme (FNH) et a été conjointement lancé par ces 02 organisations en 2016.
Sensibiliser les jeunes aux enjeux du changement climatique et aux inégalités qui en découlent, les inciter à devenir des acteurs de la solidarité et les accompagner dans la définition et la mise en œuvre de projets en France et à l’international, tels sont les objectifs du programme Génération Climat.
En proposant un dispositif d’accompagnement complet, qui va de la réflexion à l’action sur le terrain aux jeunes âgés de 15 à 35 ans, la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme et le Forum des Organisations de Solidarité Internationale Issues des Migrations (FORIM) souhaitent ainsi encourager la citoyenneté et l’engagement de la jeunesse dans les défis du XXIe siècle.
Dans le cadre de son dispositif d’études et de capitalisation, le FORIM avec l’accompagnement du réseau F3E a lancé une étude sur la Capitalisation d’expériences et de pratiques des Opérateurs d’appui (OPAP) du PRA/OSIM.
Depuis 2010, les Opérateurs d’Appui interviennent dans le dispositif PRA/OSIM afin d’accompagner et appuyer les porteurs de projets souhaitant candidater à l’appel à projets. Ces opérateurs sont membres du FORIM ayant candidatés à la fonction et sélectionnés par le Comité d’Examen Paritaire. Les associations candidates à l’appel à projets PRA/OSIM doivent obligatoirement être accompagnées par un OPAP de leur choix, qui appose son visa, en amont du dépôt, au dossier de candidature.
Les missions des Opérateurs d'Appui [OPAP] jouent un rôle clé dans la déclinaison des principes et objectifs du PRA/OSIM en transversalité avec ceux du FORIM, puisqu’ils permettent la démultiplication des accompagnements collectifs et personnalisés, des formations et autres activités auprès des OSIM sur tout le territoire français contribuant ainsi à la montée en compétences des associations et les porteurs de projets.
A travers des commissions permanentes organisées chaque année, les OPAP participent à la réflexion autour des pratiques et des évolutions du dispositif tout en bénéficiant d’un renforcement de capacités et montée en compétences spécifiques à leur rôle (au cycle de projet (réalisation jusqu’au compte rendu), à l’accompagnement des associations et sur la prise en compte des thématiques transversales comme le genre, la jeunesse et l’environnement).
La fonction des OPAP dans le dispositif n’est plus à prouver et reste tout à fait pertinente vu la spécificité de l’appel à projets PRA/OSIM. L’expérience acquise par les OPAP - étant eux-mêmes des contributeurs actifs dans la vie associative en France et dans les pays d’origine - a déjà contribué à l’amélioration croissante de la qualité des projets mis en œuvre, au renforcement de compétences des OSIM et des OPAP eux-mêmes. Après 18 ans d’activité, leur rôle a fait ses preuves, a obtenu des résultats et constitue une source de savoirs et pratiques multiples.
C’est pour cette raison que le FORIM lance une étude de capitalisation sur les pratiques d’accompagnement des OPAP. L’objectif ? Valoriser encore plus le rôle des OPAP et consolider leur positionnement comme une instance de référence dans le secteur de la solidarité internationale « ici » et « là-bas ». Ainsi, cette étude vise à repérer les pratiques innovantes des OPAP et consolider un référentiel harmonisé et signé « FORIM » d’accompagnement dans le cadre du PRA/OSIM.
Cette étude sera menée par une équipe de consultance experte en processus de capitalisation avec Marianne POISSON (cheffe de mission), Robin NAEL, Marina LAABI et Veronica SUMALAYA. Des ateliers collectifs en ligne et en présentiel avec les chargé.e.s d’accompagnement ainsi qu’un séminaire OPAP dédié à l’étude sont prévus entre septembre 2021 et janvier 2022.