Le samedi 29 juin dernier, le FORIM organisait son Assemblée Générale au Foyer des Jeunes Travailleurs du 17ème arrondissement de Paris. L’occasion pour l’équipe du FORIM de présenter le rapport annuel d’activité 2023 et les perspectives 2024 aux membres présent.e.s.
Quelques chiffres clés :
A cette occasion, la commissaire au compte accompagnée du Responsable Administratif et Financier du FORIM ont pu présenter le bilan financier de l’exercice précédent et le prévisionnel aux membres du FORIM.
Une séquence découverte a aussi été organisée dans le but de mieux connaître les actions des structures en cours d’adhésion au FORIM, notamment l’UNACOF, le COSIM Grand Est ou le COSIM Loire Atlantique.
Des ateliers sur le « membership » (adhésion au FORIM) ont été organisés avec les membres, il est question de s’interroger et de s’accorder sur l’adhésion de potentiels nouvelles structures au FORIM.
Enfin la journée s’est clôturée sur un moment convivial où les différents membres ont pu se retrouver, échanger et célébrer cette réunion.
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Pour consulter le rapport annuel d’activité 2023 du FORIM
Après la dissolution récente de l’Assemblée nationale et à la suite des résultats des élections européennes, les français.e.s sont de nouveau appelé.e.s aux urnes les 30 juin et 7 juillet 2024 pour des législatives anticipées. Avec l’extrême droite aux portes du pouvoir, ces élections nous placent à un moment décisif de notre démocratie. Prenant en considération l’importance du thème de la migration dans les débats, le FORIM, réseau des diasporas solidaires, appelle ses membres, leurs adhérent.e.s et sympathisant.e.s ainsi que toute la communauté diasporique à aller voter. Ensemble, exerçons notre devoir citoyen pour revendiquer et construire une société en accord avec nos valeurs d’égalité, de justice et de solidarité.
Les migrations ont toujours été une source inestimable de richesse pour notre société. Elles enrichissent notre culture, stimulent notre économie et apportent une diversité essentielle à la vitalité de notre nation. Les personnes migrantes, par leur travail et leur créativité, contribuent de manière significative à notre société.
En 2022 déjà, lors des élections présidentielles, le FORIM avait fait le constat du besoin de reconnaitre l’apport essentiel et incontestable des diasporas et dénonçait les politiques discriminantes à l’encontre des migrant.e.s. Aujourd’hui encore, reconnaître et valoriser cette contribution est non seulement juste, mais aussi nécessaire pour l'avenir et la cohésion de notre pays.
Les discours xénophobes et les fausses informations sur les migrations perdurent, gangrènent nos valeurs du vivre ensemble et continuent inlassablement de semer la division, la méfiance et parfois la haine.
Dans le contexte politique actuel, il est crucial de rappeler que les droits des femmes et des minorités doivent être défendus sans relâche. Simone de Beauvoir nous avait prévenus : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis ». Ce constat résonne plus que jamais aujourd’hui quand certains acquis sociaux, arrachés après de longues luttes, sont menacés. Voter n’est plus seulement un droit mais également un devoir essentiel !
Ainsi, il est impératif que nous nous levions ensemble pour défendre nos valeurs communes. Nous devons exiger des politiques publiques qui respectent et promeuvent les droits fondamentaux de toutes et tous. Le FORIM, réseau des diasporas solidaires, appelle donc les décideurs et décideuses politiques à :
En cette période d’incertitude politique, notre voix est plus importante que jamais. Aller voter, c’est affirmer notre engagement pour une société juste et solidaire. Aller voter, c’est envoyer un message clair aux décideurs et décideuses politiques : nous voulons des politiques qui respectent et défendent les droits de chaque individu, quels que soient son origine, son genre ou sa religion. Aller voter, c’est refuser de céder à la peur et agir pour empêcher l’extrême droite et son projet xénophobe, raciste et sexiste, d’accéder au pouvoir.
Allons voter, pour nous, pour nos proches, pour toutes et tous.
Diasporas, les 30 juin et 7 juillet, faisons entendre notre voix !
Retrouvez le Policy brief du FORIM « les diasporas donnent de la voix », publié en 2022 pour les élections présidentielles, soulignant l’engagement continu du FORIM pour influencer les politiques publiques et valoriser l’apport des migrations ici et là-bas : Policy Brief 2022
[A la veille des élections européennes de 2024, les jeunes du FORIM souhaitent délivrer un message fort aux jeunes des diasporas afin de leur rappeler le rôle clé qu’ils et elles jouent pour bâtir ensemble le monde de demain.
Dans ce contexte électoral, les jeunes du FORIM souhaitent souligner l’importance de l’engagement de ces jeunesses, visages actuels de la société française.]
Le 9 juin 2024, nous serons appelé.e.s à élire les député.e.s qui siègeront au parlement européen pour éditer les lois qui s’appliqueront aux 27 Etats de l’Union Européenne.
Nous, jeunes issu.e.s des migrations, sommes particulièrement exposé.e.s à des difficultés liées à la fois à notre statut socio-économique (précarisation des conditions de vie, difficultés d’insertion professionnelle) et aux représentations collectives (stéréotypes, instrumentalisation dans les médias et absence de représentation politique).
Une partie des jeunesses, du fait, entre autres, du manque d’informations, de l’incompréhension des institutions et l’absence de représentativité se désintéressent des échéances électorales. Notre abstention reste encore trop importante alors même que les enjeux en question nous concernent.
Sommes-nous désintéressé.e.s ? Egoïstes ?
Non, bien au contraire.
Nous participons activement à la vie de la société et nous contribuons à l’intérêt général via différentes formes d’engagement citoyen : nous sommes bénévoles dans des associations, nous portons nos messages sur les réseaux sociaux, nous sommes présent.e.s lors des mobilisations de rue, nous nous engageons dans des causes qui nous tiennent à cœur.
Notre engagement citoyen s’illustre en particulier sur les thématiques qui nous préoccupent pour l’avenir de nos sociétés : lutte contre le changement climatique, combat pour plus de justice sociale, promotion de la paix et de l’égalité de genre.
Nous sommes particulièrement fier.e.s de l’engagement des femmes issues des diasporas qui, malgré l’ensemble des violences structurelles et intersectionnelles qui pèsent sur elles dès le plus jeune âge, se mobilisent au quotidien pour briser le plafond de verre qui les empêche de réaliser pleinement leur potentiel de réussite.
Ces engagements, par leur pluralité incarnent notre diversité et contribuent à construire le monde de demain.
Nous le voyons à travers les luttes portées par les jeunes pour le climat, contre les discriminations, pour davantage de justice sociale, qui ont porté leurs fruits, comme ça a été le cas, par exemple, pour les jeunes impliqué.e.s dans la convention citoyenne pour le climat.
Nous, jeunes issu.es des migrations, nous sommes le trait d’union entre nos aîné.e.s qui ont quitté leur pays d’origine et la société d’accueil dans laquelle nous vivons et à laquelle nous appartenons. Notre double culture, nos trajectoires familiales et nos identités plurielles ne sont pas des obstacles à l’intégration mais sont au contraire vectrices d’enrichissement mutuel et de développement pour les sociétés européennes dont l’avenir se joue dès maintenant.
Par nos actions, nous construisons un avenir que l’on rêve plus égalitaire pour nous et pour les futures générations. Beaucoup de formes d’engagement sont possibles : poursuivre la lutte pour l’égalité et la dignité (initiée par les personnes migrantes dès les années 1960 pour obtenir la reconnaissance de leurs droits fondamentaux), sensibiliser notre entourage sur les enjeux qui nous concernent autour d’un café ou sur les réseaux sociaux, mettre notre bulletin dans l’urne…
Toutes ces formes d’engagement méritent d’être reconnues et défendues pour l’impact qu’elles ont à leur échelle et la pierre qu’elles apportent à l’édifice.
Jeunes des diasporas, nous ne sommes pas que le futur de nos sociétés, nous en sommes le présent !
Poursuivons nos engagements citoyens pour que chacun.ne puisse trouver sa place et s’épanouir dans notre société !
Mobilisons-nous pour donner vie aux valeurs de paix, de solidarité et de dialogue entre les peuples qui sont au cœur du projet démocratique européen !
Le 9 juin 2024, rendons-nous aux urnes pour les Européennes et décidons des politiques de demain !
Le FORIM et sa Commission Jeunesse
Les élections européennes constituent un temps fort de l’agenda politique et une opportunité pour les diasporas de faire entendre leur voix et leurs revendications de plaidoyer. Alors que la question migratoire polarise le débat politique, il est de la responsabilité des diasporas de prendre la parole pour défendre un narratif positif sur les migrations.
Des décisions politiques importantes ayant un impact direct sur les populations migrantes sont prises à l’échelle européenne (pacte asile et immigration 2024), ce qui constitue un enjeu majeur pour les diasporas engagées en faveur de politiques migratoires plus inclusives et respectueuses des droits des personnes migrantes.
Citoyenneté, dialogue intergénérationnel et représentation
C’est dans ce contexte, que le FORIM a lancé une campagne sur le droit de vote des diasporas à l’occasion des élections européennes 2024. Cette campagne, conçue par les membres de la Commission Jeunesse du réseau, propose de sensibiliser le grand public aux questions d’accès au droit de vote pour toutes et tous, et d’encourager le vote durant les élections européennes notamment le vote des jeunes et des femmes des diasporas.
Ainsi, depuis le 9 mai, Journée de l’Europe, et jusqu’au 9 juin, jour des élections, différentes publications (vidéos, posts, tribune) auront lieu sur les réseaux sociaux du FORIM avec l’ambition de :
En rappelant les batailles menées par les femmes et les hommes depuis le début du dernier siècle pour garantir le droit de vote des personnes étrangères en France, ainsi que la place de l’Europe dans la législation appliquée dans les États membres, y compris dans les domaines de la coopération, de l’environnement ou de la migration, les jeunes du réseau du FORIM incitent le grand public, migrants, migrantes, de toutes les générations à exercer leur droit de vote et faire entendre leur voix.
#européennes #citoyennetéderésidence #égalitédesdroits #votedesdiasporas
A l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits des femmes, le FORIM, réseau des diasporas solidaires, rappelle le rôle crucial qui est joué par les femmes migrantes et de la diaspora dans le co-développement et appelle les pouvoirs publics à des politiques publiques plus ambitieuses face aux défis qu’elles rencontrent.
Les femmes des diasporas : des actrices majeures de la solidarité internationale et de la cohésion sociale
Dans l’imaginaire collectif, l’archétype du « migrant » est souvent attaché à la main d’œuvre de travail masculine ayant immigré pour subvenir aux besoins de sa famille restée au pays. Or, la réalité en est toute autre et la figure de la personne migrante a considérablement évolué depuis ces profils observés dans le contexte des années 1970 en France.
Selon les chiffres de l’Organisation Internationale pour les Migrations en 2020, les femmes représentent plus de la moitié des personnes migrantes dans le monde (51,9 %)[1] – une tendance également observée en France[2]. Ces chiffres témoignent du rôle précurseur joué par les femmes qui décident, pour un ensemble de raisons relevant de la liberté individuelle, d’entreprendre un nouveau projet de vie dans un autre pays.
Or, les femmes des diasporas contribuent directement au co-développement dans le double espace, via des projets mis en œuvre dans leur pays d’origine et leur pays d’accueil. Vectrices d’échanges interculturels transfrontaliers, elles font souvent le lien entre les sociétés d’ici et de là-bas et jouent à ce titre le rôle d’ambassadrices de dialogue et de paix. Leurs contributions sont multiples : elles stimulent l’économie des pays d’origine en portant des projets d’entreprenariat et contribuent à l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) en menant des initiatives qui bénéficient aux femmes et aux jeunes filles. En France, leur rôle a été souligné notamment durant la pandémie de Covid-19, lors de laquelle elles se sont illustrées comme des chainons indispensables du maillage social et économique du pays.
Des femmes des diasporas toujours confrontées à une série d’obstacles contraignant leurs actions et limitant leurs droits fondamentaux
Par leur double appartenance à des catégories minoritaires liées à leur origine étrangère et leur genre, les femmes des diasporas se situent à l’intersectionnalité d’une série de discriminations.
Pendant leur parcours migratoire, les femmes et les filles sont surexposées à de multiples violences (physiques, psychologiques, administratives, économiques et sexuelles) qui peuvent perdurer une fois arrivées dans le pays d’accueil. De ce fait, elles n’ont pas un accès équitable aux droits fondamentaux indispensables à leur épanouissement personnel (éducation & formation, logement, santé sexuelle et reproductive, emploi, etc.). En tant que personnes étrangères, les femmes des diasporas sont également exclues de certains droits fondamentaux dont ceux liés à la participation politique et au droit de vote. Elles sont ainsi reléguées à un statut de « citoyennes de seconde de zone », ne pouvant pas exprimer leur opinion politique et leurs choix d’orientations collectives au sein de la société.
Du fait de l’ensemble des violences symboliques qu’elles subissent en raison de leur identité de genre et leur origine étrangère cumulées aux inégalités structurelles qu’elles subissent dans l’accès aux droits et services de bases, on observe chez les femmes des diasporas un taux de chômage deux fois plus élevé que celui des femmes sans ascendance migratoire[3].
Le FORIM appelle les pouvoirs publics à adopter des politiques publiques plus ambitieuses en faveur des femmes des diasporas
Alors que le gouvernement a renouvelé son engagement d’inscrire l’égalité femmes/hommes comme grande cause du quinquennat[4] et affiche régulièrement sa volonté de défendre une diplomatie féministe[5], le FORIM appelle les pouvoirs publics à plus de cohérence et à transformer ces ambitions en actions concrètes, pour enfin changer le quotidien des femmes desdiasporas :
Participation politique et citoyenneté
Le FORIM encourage l’adoption de la proposition de loi constitutionnelle n°1982 déposée à l’Assemblée nationale le 8 décembre 2023 pour « accorder le droit de vote aux élections locales aux étrangers et étrangères non ressortissantes de l’Union européenne résidant en France ». Cette proposition de loi constitue un progrès attendu depuis de longues années par les personnes migrantes en France désirant être reconnues comme des citoyen.ne.s à part entière[6]. Nous appelons également les pouvoirs publics à renforcer la place des femmes des diasporas dans les espaces de consultation et de codécision des politiques dans une logique de démocratie participative effective. Cette participation est d’autant plus décisive dans les processus d’élaboration des politiques publiques visant l’égalité femmes/hommes et les politiques migratoires. Nous regrettons à cet égard l’absence des femmes migrantes dans les débats accompagnant l’adoption de la loi du 26 janvier 2024 pour « contrôler l'immigration, améliorer l'intégration » à laquelle nous nous sommes fermement opposés.
Formation et insertion professionnelle
Les perspectives d’intégration socio-économique des femmes des diasporas dépendent intrinsèquement de la reconnaissance de leurs diplômes et expériences professionnelles en France. Or, beaucoup de personnes étrangères en France font l’objet d’un processus de déclassement professionnel du fait de l’absence d’équivalence officielle de leurs parcours et savoir-faire acquis à l’étranger. C’est pourquoi le FORIM milite pour la reconnaissance des compétences des femmes migrantes afin qu’elles puissent révéler leur plein potentiel et atteindre des objectifs professionnels à la hauteur de leurs attentes et capacités. Nous invitons aussi à soutenir les initiatives entrepreneuriales des femmes des diasporas en facilitant leur accès à des mécanismes de financement inclusifs, tels que les prêts à faible coût et les subventions. Encourager l’accès à de tels mécanismes financiers contribuera à briser les barrières économiques, stimuler l’entrepreneuriat féminin mais aussi autonomiser de manière significative les femmes.
Appui aux initiatives de la société civile agissant pour le genre
Pour que les organisations de la société civile puissent continuer à mettre en œuvre leurs actions en faveur des ODD (notamment l’ODD n°5 visant l’égalité de genre[7]), nous appelons les pouvoirs publics à maintenir leur financement inconditionnel. Cela nécessite de pérenniser et élargir les fonds de soutien tels que le Fonds de soutien aux organisations féministes[8], et de renforcer l’accessibilité de tels fonds aux petites organisations. A ce titre, nous dénonçons la tendance actuelle visant à incorporer progressivement de la conditionnalité dans l’accès à ces financements sur des critères externes aux règles et aux procédures de candidature formelles (injonction au positionnement politique, à l’adhésion à certaines valeurs, etc.). Tout comme pour l’aide publique au développement, nous militons pour que les politiques publiques de solidarité internationale ne soient pas détournées de leurs objectifs initiaux de réduire les inégalités et d’atteindre les ODD.
Sensibilisation et changement des représentations
Pour que l’égalité femmes/hommes soit réellement atteinte, il est indispensable de mener un travail sur les mentalités et les représentations collectives autour du genre et de la migration. Nous encourageons donc les pouvoirs publics à impulser des campagnes de sensibilisation visant à lutter contre les stéréotypes de genre et les préjugés associés aux femmes des diasporas. Via des partenariats avec des acteur.trice.s issu.e.s de la société civile, du monde de la recherche et des médias, il nous semble crucial aujourd’hui d’apporter un éclairage multi-dimensionnel sur les contributions positives des personnes migrantes. Ce travail de sensibilisation semble d’autant plus important aujourd’hui pour faire face à la propagation des idées d’extrême droite toujours plus hostiles aux principes d’égalité et mettant en péril les fondamentaux de notre démocratie.
[1] https://www.migrationdataportal.org/fr/themes/sexospecificites-et-migration
[2] https://www.histoire-immigration.fr/societe-et-immigration/quelle-est-la-part-des-femmes-dans-l-immigration-en-france
[3] https://www.insee.fr/fr/statistiques/6793274?sommaire=6793391
[4] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/toutes-et-tous-egaux-plan-interministeriel-pour-legalite-entre-les-femmes-et-les-hommes-2023-2027
[5] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/diplomatie-feministe
[6] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b1982_proposition-loi#
[7] https://www.un.org/sustainabledevelopment/fr/gender-equality/
[8] https://www.afd.fr/fr/fonds-de-soutien-aux-organisations-feministes-fsof
Dans le cadre de l'appel à projets du dispositif PRAO/SIM, 20 associations membres du FORIM ont été sélectionnées et labellisées en tant qu'opérateurs d'appui (OPAP). Être accompagné par un OPAP est une étape obligatoire pour toutes les associations souhaitant soumettre une demande de cofinancement. Leur rôle principal est d'accompagner les associations dans la conception et la réalisation de leurs projets.
Retrouvez ci-dessous la liste des activités organisées par nos opérateurs d'appui dans le cadre de cet appel à projet.
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par la Plateforme des Associations congolaises de France
Informations pratiques : 17h-21h, 19 rue de la Fraternité 93170 Bagnolet
Contact : kilemak@gmail.com
Journée d'écriture - organisée par la Plateforme des Associations congolaises de France
Informations pratiques : 10h-17h, 19 rue de la Fraternité 93170 Bagnolet
Contact : kilemak@gmail.com
Réunion d'informations sur le PRA/OSIM organisée par le Collectif des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations de la région Nouvelle Aquitaine
Informations pratiques : 10-13h, visioconférence
Contact : cosim.aquitaine@gmail.com
Séances d'accompagnement individuel d'un projet de développement local, organisées par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo
Informations pratiques : 20h30-22h30, visioconférence
Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par la Plateforme d'Associations Franco-Haïtiennes
Informations pratiques : 10h-17h, 14 rue Victor Hugo - 93500 PANTIN
Contact : contactpafha@gmail.com
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe
Informations pratiques : 10h-15h, visioconférence
Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par la Fédération des Associations Capverdiennes de France (FACF)
Information pratiques : 19h, visioconférence
Contact: contact.fac2016@gmail.com
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Conseil des Béninois de France (CBF)
Informations pratiques : 10h-13h, visioconférence
Contact : martialmehouloko@gmail.com; Jean_charles.ahomadegbe@yahoo.fr
ID de réunion: 827 7449 1956
Code secret: 01081960
Séance d'information en ligne organisée par le Comité de suivi du symposium sur les Sénégalais de l'extérieur (CSSSE)
Informations pratiques : 14h-17h, visioconférence
ID de réunion: 763 5886 6640
Code secret: FYPS5g
Contact : Moulaye Aidara, 06 03 37 77 52
Atelier collectif d'écriture d'un projet de développement local organisé par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo
Informations pratiques : 18h30-21h00, visioconférence
Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM organisée par le Haut Conseils des Maliens de France
Informations pratiques : 10h-17h, Bourse de Travail de Paris 3 rue de Château d’eau, Métro République
Salle Louise Michel
Réunion d'information sur les dispositifs de co-financement, organisée par la Coordination des associations guinéennes de France
Informations pratiques : 14-17h, visioconférence
Contact : Tahirou BAH, 06 60 50 62 83
Atelier d'écriture organisé par le Conseil des Béninois de France (CBF)
Informations pratiques : 10h-18h, visioconférence
Contact : martialmehouloko@gmail.com; Jean_charles.ahomadegbe@yahoo.fr
ID de réunion: 827 7449 1956
Code secret: 01081960
Réunion d'information générale sur le PRA/OSIM - organisée par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe
Informations pratiques : 10h-15h, visioconférence
Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org
Séances d'accompagnement individuel d'un projet de développement local organisées par la Coordination d'appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo
Informations pratiques : 20h30-22h30, visioconférence
Contact : Gaston MASSALA, 06 64 08 91 01
Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par le Collectif des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations de Rhône-Alpes (COSIM Rhône-Alpes)
Informations pratiques : 19h00-19h45, visioconférence
Contact : contact@cosim-ara.fr
Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par la Plateforme d'Associations Franco-Haïtiennes
Informations pratiques : de 18h30- 20h30, visioconférence ZOOM
ID de réunion: 827 23746932
Code secret: 834798
Séances d'accompagnement individualisées pour les porteurs de projets - organisées par le Réseau des Associations Mauritaniennes en Europe
Informations pratiques : 14h, visioconférence
Contact : Moussa DRAME, contact@le-rame.org
Réunion d'information sur le PRA/OSIM organisée par le Réseau des associations pour le développement du bassin du fleuve Sénégal (RADBFS)
Informations pratiques : de 09h00-16h00, Bourse de Travail de Saint Denis, 9-11 rue Génin 93200
Contact : radbfs@gmail.com
Atelier d'écriture de projet -partie 1, organisé par le Femmes et contributions au développement (FECODEV)
Informations pratiques : de 14h00-16h00, visioconférence
Contact : fecodev@gmail.com
Vous êtes une association de jeunes à la recherche de financement pour vos projets solidaires ?
Vous souhaitez être accompagné sur des problématiques liées à l’engagement des jeunes ?
Vous recherchez des opportunités de financement pour votre projet d’assainissement ou de gestion des déchets dans votre pays d’origine ?
Votre association souhaite renforcer les compétences de ses bénévoles ?
Le FORIM a recensé pour vous plusieurs appels à projets externes en cours répondant à ces questionnements et portés par le FONJEP, Engagé.e.s & Déterminé.e.s, Plan International, la Fondation de France, Syctom, l'agence de l'eau et le FDVA.
samedi 16 décembre 2023
Chaque année autour du 18 décembre, la journée internationale des migrant.e.s (JIM) est l’occasion de réaffirmer, promouvoir et défendre les droits des personnes migrantes et des diasporas. Cette année, alors que la régression de leurs droits s’institutionnalise et se banalise, la mobilisation du FORIM, de son réseau et de la société civile dans son ensemble est d’autant plus cruciale.
Dans ce contexte, le FORIM, réseau des diasporas solidaires, vous convie à sa mobilisation :
le samedi 16 décembre
de 9h30 à 16h30
au pavillon Indochine du jardin d’agronomie tropicale René-Dumont
45 avenue de la Belle Gabrielle, 94130 Nogent-sur-Marne
pour une journée de décryptage et d’échanges avec les diasporas et leurs partenaires autour de l'actuel projet de loi asile et immigration, et dont l'examen en séance publique débutera à l’Assemblée nationale le 11 décembre 2023.
Intéressé.e ? L’inscription est obligatoire. Inscrivez-vous !
Dans le contexte actuel, et souhaitant communiquer un message fort face à un projet de loi qui bafoue les droits des migrant.e.s et l’esprit de solidarité qui anime notre réseau, nous vous invitons tous.tes chaleureusement à prendre part, afin de partager vos expériences et débattre de vive voix avec les personnes concernées.
Rendez-vous le 16 décembre !