Malgré l’ouverture de la parole et la sensibilisation au sujet, la société civile dénonce, aujourd’hui et tout au long de l’année, la persistance des violences à l’égard des femmes et des filles et le manque de solutions.
La situation s’est aggravée depuis le début de la crise sanitaire avec ce que nomme l’ONU, la “Pandémie fantôme”. Dans certains pays, les violences contre les femmes et les filles ont été multipliées par 5.
C’est pourquoi les associations du FORIM se mobilisent aujourd’hui.