FORIM

Participation du FORIM à la session de
plénière du CNDSI

Le 27 septembre, le FORIM a participé au Conseil national pour le développement et la solidarité internationale (CNDSI) à l’occasion de sa session plénière. Présidée par Mme Zacharopoulou, secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, cette 2ième réunion plénière était consacrée au bilan de la diplomatie féministe.

La diplomatie féministe est une priorité du gouvernement et la contribution des OSC à celle-ci est essentielle : si l’engagement de la France est salué, les acquis sont fragiles avec une montée en force des conservateurs dans le monde. Le bilan 2018-2021 de l’AFD montre une augmentation de 25% des projets prenant en considération l’égalité femme-homme.

L’ensemble des membres du CNDSI a souligné l’importance de poursuivre une diplomatie féministe, qui se traduise à travers des projets de terrain, alors que les droits des femmes sont menacés dans le monde.

Le FORIM, par l’intermédiaire de son président, a pris la parole pour défendre une vision de la diplomatie française qui met au cœur de son action les femmes issues des diasporas porteuses de projet de développement. A titre d’exemple, dans le cadre du programme PRA/OSIM, coordonnée par le FORIM :

 

Vous êtes une OSIM (Organisation de Solidarité Internationale issue de l'Immigration) et vous souhaitez développer un projet de solidarité internationale?  Alors l’appel à projets PRA/OSIM est fait pour vous !

Le Programme d’Appui aux projets des Organisations de Solidarité internationale issues de l’immigration (PRA/OSIM), fondé et piloté par le FORIM, est un dispositif d’accompagnement, de cofinancement, de valorisation et de capitalisation des projets de développement local portés par les diasporas en direction de leurs pays d’origine.

Chaque année, le FORIM lance l’appel à projets PRA/OSIM pour financer jusqu’à 15 000 € et accompagner les projets de solidarité internationale portés par les diasporas engagées au développement social et économique de leur pays d’origine. Depuis 2003, plus de 700 projets ont été financés dans plus de 38 pays en Afrique, aux Caraïbes, en Asie, en Europe,  et en Amérique Latine éligibles dans le CAD de l’OCDE.

Vous souhaitez vous faire accompagner ? Depuis 2010, le PRA/OSIM s’appuie sur des opérateurs d’appui labellisés (OPAP) afin d’appuyer les associations souhaitant déposer un projet.  Le recours à un OPAP est obligatoire pour être éligible à l’appel à projets PRA/OSIM et le service est gratuit.

Les OPAP sont des membres du FORIM (FOSIM, COSIM, OSIM) ayant différentes compétences en montage et gestion de projets. Grâce à leur expertise technique, interculturelle et leur maîtrise des problématiques de pays à l’international, ils constituent un relais d’accompagnement privilégié.

Pour faire appel à un Opérateur d’Appui, merci de contacter le secrétariat du FORIM au 01 46 07 61 80 ou par mail à l’adresse praosim@forim.net et rmaurin@forim.net


En savoir plus sur l'appel à projets

Cette semaine, le programme Coopération Régionale des Politiques Migratoires, mis en œuvre par Expertise France, a organisé une mission en Tunisie pour renforcer les liens entre les points focaux institutionnels et ceux issus de la société civile. Le FORIM pilote la composante société civile du programme, en consortium avec le Réseau Loujna Tounkaranké et le Grdr – Migration Citoyenneté Développement. Les associations présentes :

Le FORIM a notamment présenté la démarche de cartographie des acteurs de la société civile actives sur les questions migratoires dans les pays cibles du programme, Tunisie, Maroc, Sénégal, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, et Cameroun.

Pour rappel, ce programme vise à renforcer les organisations de la société civile, locales et issues de la diaspora, dans le suivi des politiques migratoires de 7 pays d’Afrique (Tunisie, Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire, Mali, Guinée, Cameroun) et à créer des espaces de dialogues avec les autorités sur ces questions. Dans chaque pays, des cartographies, programmes de renforcements, ateliers, ainsi que le soutien à des initiatives pilotes offriront des opportunités aux associations de construire leurs priorités d’action et de plaidoyer.


L’accès à l’eau potable bien qu’essentiel reste une des défis les plus importants relevées dans plusieurs pays, accentué par les impacts et différentes dégradations liées au réchauffement climatique. Plus récemment, la pandémie de la Covid-19 a renforcé l’importance capitale de continuer à porter des projets favorisant l’accès à l’eau potable.

D’ailleurs, cela a fait l’objet des priorités sectorielles de la loi Développement Solidaire et lutte contre les inégalités mondiales en 2021 de la coopération française, en faisant l’un des piliers de la politique de développement[1].

D’après l’association PSEAU, le montant moyen des actions initiées par les migrant.e.s dans le secteur de l'accès à l'eau potable a augmenté de plus de 400 % en dix ans. Le montant moyen des projets d’intervention est en moyenne de 30 000 euros afin de réaliser des puits, des adductions d’eau, réhabiliter l’approvisionnement en eau, souvent financées sur fonds propres des Organisations de Solidarité Internationale issues de l’immigration (OSIM).

[1] https://www.coordinationsud.org/wp-content/uploads/si-acf-garantir-lacces-eah-lieux-informels-de-vie-032021-vf-doc-complet-1.pdf

Dans le cadre du PRA/OSIM, d’un montant de 1 021 987 €, passant de 15 projets entre 2003 et 2010 à 50 projets entre 2017 et 2021, soit le triple en l’espace de 10 ans. Parmi ces projets, 45% de ces projets sont portées par des femmes, au service de plus de 800 000 bénéficiaires majoritairement situés en Guinée, au Cameroun et au Maroc et 16 autres pays d’Afrique et d’Asie.

Cette évolution a été possible grâce au renforcement des capacités des OSIM, par les OPAP, dans le montage de projets et de construction de partenariats techniques et financiers durables dans le milieu de la solidarité internationale.

Par ailleurs, les associations issues des migrations font appel à des bureaux d’études locaux et/ou ONG spécialisées pour leur étude de marché et de faisabilité. Puis, elles contractualisent avec des entreprises locales pour les travaux et sont de plus en plus soutenues par les collectivités locales françaises, ainsi que les autorités locales des villes et villages d’intervention dans les pays d’origine. En effet, on constate que plus d'un tiers des associations de migrants a été soutenu par la collectivité locale de leur lieu de résidence, pour un montant global de 230 000 euros (dont 168 000 mobilisés grâce à la loi Oudin) représentant 7,5 % du coût total des projets réalisés.[1]

[1] https://www.pseau.org/outils/lettre/article.php?lett_article_lettre_id=1173



L’OSIM Citoyenneté & Développement, 3 fois lauréats PRA/OSIM pour des projets dédiés à faciliter l’accès à l’eau dans 10 villages au Maroc

Les projets consistent principalement au développement d’installations pour faciliter l’accès à l’eau potable et la consommation d’énergie. Parmi elles, la construction d'un nouveau réservoir et l'installation d'une station de pompage solaire ou encore le changement d'une partie de tranchées et de canalisations. Ces projets ont aussi fait l’objet de partenariats avec différents établissements scolaires français en tant que chantier ECSI pour favoriser l’engagement des jeunes dans les chantiers de solidarité internationale.

Avec un budget total de plus de 70 000 €, un co-financement total du PRA/OSIM de 42 838 euros sur trois années (en 2017,2019 et 2021) et 11 800 € de fonds propres de l’association, ces projets d’adduction d’eau dans un contexte rural dans un pays comme le Maroc sont des projets qui se veulent être une activité pérenne et prioritairement destinée à la création d’emploi et activités génératrices auprès des jeunes et des femmes (qui ont la responsabilité d’aller chercher de l’eau). Le 1er projet cofinancé en 2017 concernait le village d’Anighd et concerne maintenant plus de 10 villages dans la région de Taroudant au Maroc avec 1500 bénéficiaires directs et la création de 10 emplois.




Le défi de l’association Médicale des Vietnamiens de France dans la commune de Long Trung

Depuis le début de son ouverture économique (initiée en 1986 mais réellement à l’œuvre à partir des années 1990), le Vietnam a considérablement réduit sa pauvreté. La commune de Long Trung possède une population répartie en 3 villages où 1200 familles vivent essentiellement de l’agriculture: des fruitiers tels les pommes à la crème et les pomelos. Une bonne partie de la population consomme l’eau de rivière après l'avoir fait décanter dans des jarres de terre, cette même eau où l’on se baigne et fait ses besoins, ce qui cause des maladies hépatiques et comptent parmi les causes les plus importantes de morbidité dans la région Delta Mékong.

C’est ainsi que l’association Médiale des Vietnamiens de France a porté le projet de construction d’une station de distribution d’eau potable avec un forage de profondeur de 200m avec un budget total de 35 430 €, un co-financement PRA/OSIM de 14 838 € et fonds propre de 6400 € afin d’alimenter en eau potable pour 1200 familles avec la formation d’une équipe de maintenance du réseau d’assainissement d’eau.

« Ce projet entend apporter un appui aux acteurs locaux pour faciliter la territorialisation de la stratégie nationale sur la migration au niveau de la Région Souss Massa. »

Contexte

Le Maroc est un acteur majeur de la question migratoire en Afrique. Il est à la fois un pays d’émigration, un pays de transit et un pays d’immigration. Sur ce terrain, de multiples initiatives internationales et nationales ont vu le jour depuis plusieurs années au Maroc.

En 2013, le Maroc lance une politique migratoire en s’appuyant sur la Constitution de 2011 qui confère aux Marocains du Monde et aux étrangers installés et de passage, les mêmes libertés fondamentales qu’aux citoyens marocains. Cette politique s’articule autour de deux grandes stratégies : la Stratégie Nationale en faveur des Marocains Résidents à l’étranger qui vise à renforcer et dynamiser les liens entre la diaspora marocaine et le pays d’origine, à protéger leurs droits et intérêts, tout en les aidant à contribuer au développement de leur pays. Et la stratégie Nationale d’immigration et d’Asile qui est dédiée à l’accueil des étrangers sur le territoire marocain.

Ces initiatives s’intégrent dans la politique de régionalisation initiée en 2015, qui vise à mettre en cohérence la politique migratoire et les politiques sectorielles de développement économique et humain au niveau régional.

Le projet

Le projet a pour but principal d’appuyer la mise en œuvre de la politique migratoire au niveau de la région de Souss-Massa, plus spécifiquement :

Pour cela, dans un premier temps, le projet prévoit des actions de sensibilisation, de mobilisation et de formation en faveur des agents des collectivités et des fonctionnaires des services décentralisés de l’Etat. Mais aussi de déployer des Bureaux d’Accueil et d’Orientation des Migrant.e.s dans de nouvelles Communes ayant une présence notable de migrant.e.s.

Ce projet est porté par Migrations & Développement en partenariat avec Expertise France, dans le cadre de la coopération franco-marocaine soutenue par l’AFD.


Migrations & Développement (M&D)

M&D, membre fondateur du FORIM, est une association franco-marocaine de droit français, créée en 1986 par des migrant.e.s pour mener des actions de développement dans les villages de leur région d’origine. Depuis, M&D continue à favoriser les échanges entre les deux rives de la méditerranée en soutenant des programmes de développement durable et solidaire dans les régions Souss-Massa et Drâa Tafilalet situées au Centre-Sud du Maroc.

Les orientations et engagements de M&D sont définies autour de 3 axes majeurs :

Pour plus d’informations sur M&D et le projet, consultez leur site internet et réseaux sociaux


Au Cameroun, la population des personnes vivant avec un handicap est estimée à près de 10% des 18 millions d’habitants1. Qu’il soit sensoriel, moteur, mental ou social, le handicap pose presque toujours un problème d’insertion. Outre les défis généraux auxquels tous les entrepreneurs font face lors du démarrage de leur entreprise, les entrepreneurs handicapés peuvent se retrouver confrontés à des obstacles spécifiques lors du lancement et de la gestion d’activités d’entrepreneuriat. Certains de ces obstacles sont souvent liés à des contraintes sociales structurelles qui limitent considérablement les opportunités de vie de certains groupes de personnes en situation d’handicap. Celui-ci reste encore un sujet tabou dans différents pays du Sud, évoquant une surcharge sociale et provoque une certaine distanciation avec un comportement de rejet souvent lié à des croyances, de la peur et de jugement que porte le regard de la société. 2

Bien que le gouvernement camerounais accorde une attention particulière à la situation des populations souvent en précarité (jeunes, femmes, personnes handicapées), des programmes en première ligne pour faire face à la problématique comme le Pacte National pour l’Emploi des Jeunes (PANEJ) ou encore le Projet d’Appui aux Acteurs du Secteur Informel (PIAASI), 3sont encore à consolider avec les projets de développement local portés par la diaspora.

L’association FIATOPE, créée en 2015, ayant pour objet le développement des capacités économiques et sociales de l’Afrique, la mobilisation de la diaspora africaine et la promotion de l’entrepreneuriat et de l’innovation est partie d’un constat : les initiatives généralement retenues en faveur des personnes handicapées couvrent les champs de la prise en charge psychologique, laissant de côté des propositions de développement de compétences pour l’insertion professionnelle.

Pour y remédier, l’association s’est associée avec O’Batama, un espace d’accompagnement, d’incubation et de coworking à Yaoundé pour lancer le projet « Startup’IYEM » : formation à l’entrepreneuriat, accompagnement au financement de projets et renforcement de capacités de jeunes en situation de handicap et lauréat PRA/OSIM 2020.

L’ambition de ce projet de 21 500 euros et d’un co-financement PRA/OSIM de 15 000 euros est de former 20 personnes en situation d’handicap moteur, malvoyants et sourds-muets désireux de monter leur entreprise et en financer une dizaine.

Le projet offre à ses « #Handipreneurs » des modules de formation complets qui reprennent les fondamentaux de la création d’entreprise de l’aspect juridique, compétences interpersonnelles à la communication/marketing digital ou encore la finance.

En savoir plus sur l’association FIATOPE et le projet « Startup’IYEM » : https://www.facebook.com/StartupIyem/

Vous aussi vous êtes une OSIM – association de solidarité internationale issue de l’immigration – et avez un projet de solidarité international pour contribuer au développement de votre pays d’origine ? Candidatez à l’appel à projets PRA/OSIM pour un co-financement jusqu’à 15 000 €.

Pour plus d’informations : https://forim.net/activites/pra-osim/

Suivez les dernières actualités de la mission terrain


Consulter le site

Le FORIM, fort d’un réseau de diasporas solidaires engagées en France et dans leurs pays d’origine, organise des visites de projets de développement local financés dans le cadre de son programme d’appui aux organisations de solidarité internationale issues de l’Immigration [PRA/OSIM]. Sa délégation s’envole pour une visite terrain en République du Congo (Brazzaville) du 06 Février au 19 Février 2022. Un pays de 4,5 millions d’habitants répartis 342 000 km2.

En grande partie recouverte de forêt tropicale, la République du Congo dispose d’une des plus vastes zones de tourbières tropicales. Le secteur pétrolier représente plus de la moitié du PIB et plus de 80 % des exportations du pays, en faisant l’un des 10 plus gros producteurs d’Afrique. [1] Si le pays est souvent considéré comme plus stable que ses voisins, celui-ci a dû faire face à des tensions politiques endémiques, des catastrophes naturelles et des inégalités structurelles dont les conséquences ont affecté les populations dans différentes régions du pays (guerre civile de 1997 à 2000, insécurité dans le département du Pool en avril 2016, crise économique depuis 2017, inondations en 2019 dans les départements de la Likouala, de la Cuvette, de la Sangha et des Plateaux…). C’est pourquoi différentes initiatives sont portées par la diaspora congolaise de France, en réponse et en soutien du développement du pays.

[1] https://www.banquemondiale.org/fr/country/congo/overview#2

Le PRA/OSIM : un tremplin au service de la diaspora congolaise :

Depuis la création du dispositif en 2003, le FORIM a cofinancé, jusqu’en 2020, 21 projets de co-développement, équivalant à 283 500 € d’aides financières distribuées à 18 associations.

Ces projets sont déployés dans différents secteurs prioritaires du pays identifiés dans la stratégie de mobilisation des compétences de la diaspora congolaise appuyée par l’OIM (organisation internationale des migrations). Cette stratégie le gouvernement de la République du Congo à mobiliser sa diaspora pour contribuer au développement du pays dans le cadre du programme « MIDA – Migration for Development in Africa ».[1]

Cette initiative traduit une résolution forte de la diaspora de se mobiliser pour faire face aux défis de carence dans des secteurs prioritaires tels que la santé, l’agriculture ou encore l’enseignement supérieur. [1]Dans ce sens, le dispositif PRA/OSIM est un atout majeur pour la diaspora congolaise dans le soutien aux dynamiques de développement. En étroite collaboration avec les associations sur le terrain, la diaspora est en mesure d’apporter des réponses concrètes aux préoccupations des populations, de contribuer au développement socio-économique, de promouvoir l’égalité des genres, et aussi, de protéger l’environnement et la biodiversité du pays.

Le FORIM, en tant que fédérateur d’associations de la diaspora et via ses membres, la CAPCOS (coordination d’appui aux projets de solidarité internationale pour le Congo) et le COSIM Bretagne, a répondu à l’appel à mobilisation de la diaspora congolaise en France lors du déplacement en août dernier à Paris, du Premier Ministre congolais M. Anatole Collinet Makosso et sa délégation ministérielle. Le Président du FORIM, Mackendie Toupuissant durant cette audience a tenu à souligner les enjeux d’une collaboration entre le FORIM et le gouvernement congolais. L’organisation d’une visite terrain en République du Congo présente une opportunité pour initier et alimenter une dynamique de dialogue et de collaboration entre la diaspora congolaise et les représentants de l’état congolais. Cette mission terrain relève d’une réelle volonté de :

- Faire connaissance avec les porteurs de projets sur le terrain et les bénéficiaires

- Recueillir les appréciations, enseignements tirés, ressentis ou vécus d’expérience des projets et les attentes des parties prenantes

- Co-construire des solutions ou réponses aux attentes et besoins exprimés par les populations et partenaires rencontrés

- Informer les autorités et amorcer une collaboration bénéfique à toutes les parties (CAPCOS, FORIM, autorités locales et populations cibles)

[1] https://www.adiac-congo.com/content/cooperation-loim-renforce-les-capacites-du-gouvernement-congolais-dans-les-strategies-de

[1] https://diasporafordevelopment.eu/wp-content/uploads/2021/10/CF_Congo_FR-v.3.pdf

Soirée lauréats PRA/OSIM

Afin de clôturer la Journée Internationale des Migrants le Samedi 18 Décembre, le FORIM organise un temps de célébration des nouveaux lauréats PRA/OSIM suite au dernier appel à projets 2021.

A travers cette célebration dédiée aux lauréats PRA/OSIM, le FORIM a pour ambition d’encourager la participation des migrants.e.s à l’élaboration des projets de co-développement et les féliciter de leur engagement et leur résilience pour contribuer au développement de leurs pays d'origine.

Pour cette 3ème soirée lauréats depuis sa création en 2019, au programme :


Inscription obligatoire

Avec le soutien principal de l'Agence française de Développement

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